Je me levai tout raquer de la nuit dernière. Mon réveil sonne pile à l'heure où je l'ai régler depuis début septembre. 7h45. Allez debout ma fille! Je traînait mon pauvre corps endolori sous la douche. Je me sechais painiblement les cheveux et renonçait à les aplatir les laissant naturellememt en cascade sur mes épaules. Qu'ai-je a faire des avis des autres! Je monte les escaliers puis me dirige vers la cuisine. En somme je ne fait que finir de monter les peux de marches qu'il y a pour atterrir dans la cuisine.
Mon père s'affaire à préparer je ne sais pas quoi encore. Je m'approche de lui tranquillement et me positionne juste à coter de lui. Je ne sais pas comment, mais il ne m'a pas vue ce qui provoqua un grand sursaut suivi d'un petit cri masculin de sa part quand il se retourna pour s'approcher du levier.
- Bon dieu fille tu m'a fait peur! S'exclame-t-il.
Oui mon père m'appele fille et non ma fille ou ma puce ou ma chouette. Non, fille un mot simple et ordinaire, représentatif de moi en y pensant.
- Bon matin père, repondis - je en rigolant. C'est très rare que je me réveil de si bon matin alors mon père pour ne pas briser mon bonheur affiche une sourire complètement faux sur ses lèvres. Il doit penser qu'on ne le remarque pas du tout. Je redonne un coup d'oeil rapide à la chose qu'il fait sauté dans la poêle. Je me décline gentiment du petit déjeuner prétextant que la journée est tranquille et que je n'es en aucun cas besoin de me nourrir en ce beau matin.
- Mais Corine, apporte toi au moins une petite collation entre deux cours pour te donner plus d'énergie!
Alors pour qu'il me lâche à ce sujet je pris une pomme verte dans le frigidaire. Je mis mes petite sandales stylés et je pris mes clé d'auto. En franchissant le portier un petit coup de vent vint se frotter à mon visage, un vent frais, mais tolérable en t-shirt. J'entre dans ma petite Toyota et me dirige vers mon école avec une musique de The weeknd "The Hills" une merveille.
J'arrive dans l'établissement pile à l'heure où la première cloche sonne pour permettre aux élèves de se rendre à leur tout premier cours de la journée. Je m'avance vers mon piètre casier similaire à tous les autres qui réside depuis des millénaire dans ce vieux bâtiments scolaire. En l'ouvrant je constate comme à chaque matin que mes livres sont encore là accompagner de mes cartables, crayons et horaire qui est aimanté à ma porte. Je lui jette un bref coup d'oeil pour être sûr de où je dois me diriger. Math, un cours que je porte particulièrement attention, juste lorsque je comprend et maîtrise bien la matière sinon au poubelle les maths aujourd'hui. J'entre dans mon local et dit bonjour à mon professeur élevé modèle que je suis! Il me répond avec trop de politesse et de forme comme: "Bon matin Corine Wallis, j'espère que votre cerveau aime calculer aujourd'hui" et le pire c'est qu'il te pose une question indéchiffrable ou même qu'on en comprend juste pas le sens. Alors je vais m'asseoir à ma place habituel et le cours commence.
Au beau milieu du cours je remarque que je transpire énormément. Je déteste transpirer appart en cours de sport puisque tout le monde transpire là bas! Cependant en ce moment je suis dans un cours pathétique de math, alors pourquoi les gouttes d'eau? Je me retourne vers ma voisine de pupitre, ce qui m'échappe pourtant c'est que j'ai surment tourner ma tête un peux trop vite pour mon cerveau car je me sent tout drôle après le geste et je commençais à me sentir plus que mal. Un mal de tête irréprochable me martel le cerveau, j'ai chaud et froid à la fois et par dessus tout j'ai des flash d'image d'endroit comme si je me promène moi même dans ces endroits. J'essaie de lever ma main pour me rendre au toilette mes les forces me manque, quoi? Les forces me manque pour lever mon satané bras? Alors je m'appui sur mon bureau et une autre image défile sous ma rétine. Une maison, ma maison, je suis devant ma maison et je commence à avancer, mais je suis très bas trop bas pour être debout. Je suis aplati sur la terre de mon jardin. Je m'avance soudainement mais m'arrête quand mon père sors de chez moi. Il regarde tout partout alentour de lui comme s'il craignait quelque chose. Je l'observe encore et encore, j'avance plus près et tout à coup je saute sur lui en hurlant. Hurlant ? Je rouvre mes propres yeux et je suis lever de ma chaise et tout le monde me regarde je me retourne et encore une fois trop vite je perd pieds et m'avachi par terre sans perdre toutefois connaissance.
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Descendance
Fantasy- Tu sera à jamais mienne. Tu me servira de soutient, d'amour et de fierté. Tu me donneras géniteur. Tu me serviras et me donneras tout ce que je veux. - Moi, Corine Wallis, je suis tienne jusqu'à ce que nos âme soit séparer par le fer. Jusqu'à ce...