"- Tu sais petite, tu regardes ces murs moisis avec dégoûts, tu veux t'en aller coûte que coûte parce que c'est vrai, la liberté n'a pas de prix. Pense comme tu veux, la liberté n'a pas de limite mais... Rends moi juste un service: Repense à mes mots le jour de ton départ. Ces murs te manqueront, ce plafond blanc usé par l'humidité que tu regardes sans cesse du couché jusqu'au levé du soleil, il te manquera. Ces cris, ces bagarres et ces pleurs qui bercent ton insomnie, ils te manqueront. C'est fou à dire mais, profite de ton malheur, quand tu connaîtras l'enfer petite, t'attendra pas les week-end de sortie nan, t'attendra juste ton heure..."
Mes valises étaient fermées, je repliais cette lettre qui me brûlait les doigts avant de claquer la porte du dortoir sans qu'un seul mot ne sorte de ma bouche. Je descendis les marches des escaliers une à une, j'entendais les roulettes de ma valise claquer.
Marie-paule: Un dernier câlin?
Je lâcha ma valise et sauta dans ses bras, j'avais besoin d'un dernier sentiment de bonheur avant de goûter à la vie.
Marie-paule: Si tu trouves une meilleure cuisinière que moi, tu me tiens au courant! De toute manière c'est impossible.
Je fis un léger sourire et sortis de cet endroit, sans même me retourner.
***
VOUS LISEZ
Zayan - Souffrance Perpétuelle
Random• Je tenais à vous parler simplement entant qu'Humaine. En espérant que mon travail ne vous paraisse pas bâclé, j'ai essayé d'intégrer beaucoup d'action en une histoire de 24 Chapitres, je suis donc allée droit au but avec les détails nécessaires. P...
