Chapitre 2

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Cétait un jour de lundi, jour de classe, alors que Maria se dirigeait vers son casier, Gladys la menaçait des yeux. Maria ne sen préoccupait guère mais elle sinquiétait un peu.

« Quest-ce quelle mijote celle-là ?? On dirait quelle me prend pour sa rivale bref je men fiche puisque je suis célibataire ! » Pensa-t-elle

On venait de sonner pour rentrer en classe, elle se dirigea alors vers sa classe.

Peu après

-Bonjour classe ! Commença le prof

-Bonjour !! disent en chur les élèves

-Alors commençons aujourdhui par la correction des rédactions que je vous avais données

« Et merde ! Javais complètement oublié ce foutu devoir de rédaction ! Que vais-je faire maintenant ?? » Pensa Maria

-Euh madame ! Excusez-moi ! Euh je Disons quHier cétait mon anni et javais oublié ce devoir

-et??

-ben madame je

-On verra cela à la direction coupa-t-elle

-Mais

-Mademoiselle je vous attends pour continuer

-Bien !

« Elle fait la peste ! Je la déteste ! » Dit-elle tout bas

Quelques minutes dentretien avec le directeur nous finîmes, elle se rendit à la cafétéria car cétait la récré.

-Alors ?? interrogea Vlady

-Comme elle la voulue, jai eu ma convocation et le directeur ma prévenu quil ne lacceptera plus répondit elle un peu énervée

-Tinquiète ma puce ! Tu sais que tu nas pas menti cest ce qui est important

-Je sais bae ! Mais comment lannoncer à mes parents

-Cest simple : maman, papa on vous demande à la direction pour devoir non rédigé ironisa Vlady

-Tes fou !! Ils me tueront !! répliqua-t-elle

-Viens la princesse ! ordonna-t-il en lui tendant les bras

-Ce nest pas le moment Vlad répliqua-t-elle

-Allez fais-moi plaisir et tu sais que cela te fera du bien

-Oui ! Mais

Sans hésiter, il lui prit dans ses bras et là elle se laissa aller. Cela là réconfortait, sans trop savoir pourquoi elle sabandonna

-Tu vois ! Commenta t- il

-Arrête et serre-moi encore plus fort répliqua-t-elle

-Regardez-les ! On dirait que cela ne ta pas suffi pétasse ?? Se moqua Gladys

-Va te faire foutre et barre-toi !! Tu nous empêches de respirer. Tu nes Sénerva Maria

-Ne loccupe pas ma chérie ! Elle nen vaut pas la peine! Coupa Vlady

-Hey toi !! Tu ne pourrais pas toccuper de tes ognons répliqua Gladys

-Quel est ton problème !?! Tu ne pourrais pas nous foutre la paix connasse intervint Vlady

Elle fut choquée quand elle vit Vlad sénerver et le retint par le bras en le suppliant de se calmer, on dirait aussi que lautre peste fut aussi choquée car elle restait bouche bée pis elle tremblait aussi. Avec rage, Vlady dévisagea avec dégout Gladys qui se morfondait. Ils sen allèrent sans rien dire. Ce qui paraissait bizarre à Maria

-Je ne la supporte pas celle-là. Elle se prend pour qui Bordel ?!? Commença Vlad après un moment de silence

- Calme-toi ! Comme tu viens de dire elle ne vaut rien pour quelle mérite cette humeur là bb. Convainquait-elle

-Mais je ne veux pas que personne te fasse du mal

-Personne naura pas ce droit tant que tu seras là à mes cotés

-Je... je balbutia-t-il

-Oui, parle-moi

-Je taime Maria !

Alors les yeux de Maria silluminèrent sans sen rendre compte elle lui sauta au cou et lembrassa avec fougue ce qui lui surpris mais lui aussi faisait de même.

-Ton coup na pas bien marché surette et voilà que tu nen fais quà ta tête. Ironisa tonys

-Fiche moi la paix ! Et occupe-toi de tes affaires gronda-t-elle

-Euh je te rappelle tu que je suis ton grand frère, tu me dois répliqua-t-il

-Dégage !! cria-t-elle

Il sen alla malgré lui et la laissant entrain de pleurnicher comme un enfant

« Je vais te détruire Maria ! Je vais tanéantir jusquà te voir me supplier de ne pas continuer. Je me vengerai davoir ce qui ne tappartient pas ! » Pensa-t-elle.

Maria et Vlady passèrent plus de temps ensemble, ils étaient ainsi beaucoup plus proches et apprenaient à se connaitre de plus en plus pendant ce temps Gladys cherchait désespérément un moyen pour les éloigner mais en vain.

La semaine suivante Vlady fit sa demande à Maria avec un bouquet de fleur cueilli le même jour en fin daprès-midi après les cours, Maria éblouie, lembrassa pour un sans se soucier des élèves qui les regardèrent.

Les semaines se succédèrent et les amoureux se lovèrent en saffichant partout. Ils sen fichaient des commentaires des gens.

Les retrouvaillesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant