Pas moyen que je monte rejoindre ce gros naze...
-Qu'est-ce que tu fous, je crois que y a quelqu'un qui t'attend... Me demanda une voix de l'autre côté de la porte.
-T'es folle toi, tu crois que je vais le faire avec...
J'entrouvrais la porte. Merl se faufila à l'intérieur:
-Bon, c'est quoi le problème...?
-Le problème c'est que tu veux me refourguer à l'autre pervers-là. Fin, le pire, c'est que tu m'utilises comme appât, c'est pas cool... Dis-je d'un ton écoeuré.
-Ben, j'espérais que tu veuilles pas en fait, comme ça il arrête de me gaver mais il fait que me textoter là pour savoir où t'es... Je lui ai dit que t'étais sortie faire un tour...
-Ben, c'est de ta faute tout ça, va régler la situation! m'exclamai-je.
-Facile à dire, c'est pas toi qui va te retrouver face à un gars en manque...
Merl me tira dans le couloir:
-Viens, on se casse de là, me fit-elle lorsqu'elle vit son pot de colle qui descendait l'escalier en regardant dans toutes les directions comme s'il cherchait quelque chose ou quelqu'un (nous!).
Alors qu'on se dirigeait vers la porte d'entrée de la baraque de Benjy, quelqu'un sonna à la porte. Cindy accourut, un verre à la main:
-Salut! Euh.... Et tu es...?
-Salut, je viens pour Merl et sa pote...
-Aaaaaah... Toi, aussi! Et ben dis donc...! Vas-y entre! Je ne sais pas où elles sont, à croire que cette maison est un labyrinthe...
-Purée, mais je l'avais oublié lui, chuchotai-je à Merl.
-Ah ouais, moi aussi, ajouta t-elle en se passant une main dans les cheveux.
Le vendeur ultra sexy était dans le salon, il était en train de se servir un verre de punch aromatisé à la mangue. Je tirai Merl de l'autre côté, pour aller m'asseoir dans la cuisine. Manque de bol, la pièce possédait deux entrées: le vendeur se trouva nez-à-nez avec nous:
-Ah ben vous êtes là... Tu es magnifique... Quel est ton prénom déjà?
-Wendy, répondis-je timidement.
-Tu veux aller danser un peu? Je vais pas te sauter dessus à peine arrivé, ça se fait pas...! Dit-il, en me faisant un clin d'oeil qui en disait long...
-Vas pour la danse! S'écria Merl en passant son bras par dessus son épaule.
Je levai les yeux au plafond en soupirant puis, les suivis jusqu'au salon. Là, affalé sur le fauteuil, le pote de Merl, me fixait d'un regard sombre. "Et un ennemi en plus...", me dis-je à moi-même en détournant mon regard du sien.
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24 heures pour perdre ma virginité#Wattys2016
Ficção Adolescente"Trois longs mois que je m'adonne aux plaisirs solitaires... Trois longs mois durant lesquels je me suis imaginée en train de te chevaucher inlassablement... Le moment tant espéré arrive à grands pas de loup et au lieu de m'en réjouir, une question...