Chapitre 3

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~Point de vue de Max

Elle était belle. Elle m'intriguait au point de vouloir lui parler. J'ai fait mon galant et je lui avais envoyé discrètement un message dans son casier. J'espère fort qu'elle l'ait lu. C'était pathétique de ma part, de faire un petit 'date' avec elle, quand nous nous avons juste dit nos prénoms. Je veux la revoir. J'avoue que je suis un peu trop vite, mai c'est pas grave je voulais la revoir.

J'attendais depuis cinq minutes son arrivé au Starbucks. J'ai paniqué en dedans de moi , elle allait peut-être pas venir? Elle prenait trop de temps. Les cours étaient fini depuis vingt minutes et elle n'est toujours pas ici.

~Point de vue de Juliette

Les cours étaient fini. Puis, je me dirigea vers le Starbucks du Boulevard. J'ai peur de le voir, mais en une autre sens j'ai hâte.

J'entre dans la café. Puis, je reconnu Max assit sur une table proche des toilettes avec une tasse de café. Je pris la peine de commander mon café ,puisque j'ai un peu froid par la température d'automne. Dès que ma commande soit faite, je me dirigea vers la table à laquelle Max était assit. Je pris place et resta silencieuse devant lui. Son sourir est extraordinaire. Il brisa le silence après quelque minutes.

- Alors tu as bien vu ma lettre..

- Biensur que oui. Sinon je ne serais pas ici. fis-je sans être méchante par ma réponse.

- Ah.. Oui, biensur! Tu as des beaux yeux le savais-tu?

Il était mignon avec ces compliments,mais pourquoi tournait-il autour du pot pour me dire pourquoi suis-je ici.

- Ah! Merci, c'est très gentil de ta part. Toi aussi tu as des beaux yeux. fis-je sans même être sur d'avoir vérifié dans ma tête si il fallait que je le dise. Trop tard. Je venais de le dire.

- Merci beaucoup. Puis, sa me fait plaisir. Enfaite c'est la vérité n'est-ce pas?

Je ne savais pas trop quoi répondre. Je fus répondre, selon moi, n'importe quoi.

- Euh.. si tu le dis.

- Parfait. Hier... Tu étais magnifique au Party. Je sais que tu ne me connais pas,mais je connais beaucoup de chose sur toi.

Pardon? Il me connait tres bien? Était-il sur de ce qu'il a dit? C'est ridicule. Il ne m'avait jamais parler et il vient me dire qu'il me connait parfaitement?

- .. Comme lesquels? demandais-je pour savoir qu'est-ce qu'il connaissait de moi.

- Je sais que tu vas à l'école Curé-Antoine-Labelle. Tu as 16 ans. Ton sport s'est la Danse. Ta couleur préférée est le bleu. Tu aimes la mode.

- Ma couleur n'est pas le bleu? Et je n'aime surtout pas la mode. je m'en fiche de la mode! l'interrompais-je d'un ton agressif parce qu'il venait de faire une erreur.

- Je suis désolé. Je croyais que oui.. Murmura-t'il.

- C'est correct. Ma couleur est le rouge. fis-je en reprenant un ton plus doux.

- Tu viens ici souvent? me demanda, comme s'il voulait rapidement changer de sujet, pour ne pas me fâcher.

- Non, je viens ici juste si je marche après l'école ou quand j'en ai envi.

- D'accord. Moi non plus.

Je suis rester hypnotiser par ces yeux. Ils étaient trop magnifique.

- Tu as un petit copain? me demanda-t'il.

- Non.. je suis totalement célibataire.

- Ah bon! Moi aussi, ça tombe bien n'est-ce pas?

- Euh.. oui!fis-je d'un ton gêné. En quoi voulait-il spécifier sur 'Ça tombe bien' ? Bref, nous en clarifions de ça plus tard.

- Tu vas à Curé? Parce que je ne t'ai jamais vu à l'école.

- Non. J'ai.. euh.. J'ai fini mon secondaire. Je suis à l'Université maintenant, dit-il d'un ton très calme.

- Comment ça tu étais à l'école hier?

- Parce que j'ai un cousin qui va à ton école. Puis, je t'ai vu , j'ai su ton prénom. Je suis allé te dire Bonne fête et je n'ai pas pu quitté un oeil sur toi. Tu étais si magnifique et si adorable que je n'ai pas pu resté à une distance éloigné de toi.. Mais.. il a fallu. Et maintenant, par mon courage de t'avoir écrit une lettre tu es ici avec moi entrain de prendre un café.

Je fus très surprise. Ces mots étaient magnifiques. Il allait trop vite. Il était à l'Université ,il est trop vieux pour moi? Quel âge? 20? Non. L'amour n'a pas d'âge.

- C'est très touchant, merci. fis-je en serrant mes points sur ma poitrine. Puis, celui-ci avant même que je la replace sur la table, Max prit délicatement ma main et fit des coeurs. Un cercle. Un massage. Des bisous.

- Princesse, tu es adorable.

Je senti rougir. Je n'ai pas pu répondre, lorsque mon portable sonna.

Moi : Oui, Allô?

Inconnu : Juliette? C'est Tristan. Où es-tu?

Moi : Je suis au Starbucks, pourquoi?

Tristan : J'ai une mauvaise nouvelle à t'annoncer. Je préfère tu viennes chez moi maintenant s'il vous plaît.

Moi : Euh.. d'accord. Je serais là dans une minute à l'autre.

Je raccrocha en sanglotant. J'étais nerveuse. Quel était la mauvaise nouvelle?

- Que ce passe-t'il Princesse?

- Je dois allé chez mon meilleur ami. C'est urgent. fis-je en me levant et pris-je mon sac.

- Je peux t'y conduire si tu veux?

- Ne t'inquiète pas c'est à deux rue d'ici.

- Allons. J'insiste.

Je n'ai pas voulu trop me battre pour le transport. J'avais besoin de savoir qu'est-ce qui se passait avec Tristan.

Nous montâmes dan la Ferrari noir. Puis, il m'apporta devant la maison de Tristan. Je lui avais montré le chemin tout le long.

Je pris mon sac et voulu descendre de l'auto le plus vite possible. Jusqu'à que Max prit mon bras et me dit .

- Attend. Je veux te revoir. Prend mon numéro et appel moi.

Je pris le papier à laquelle il s'y retrouvait le numéro de Max. Puis, je le rangea dans ma poche de manteau. Je le salua et pris marche vers la porte d'entré. Avant même de cogner à la porte, Carole m'avait ouvert la porte, la mère à Tristan.

L'amour n'a pas d'âge.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant