Chapitre 17

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Aucun mot, aucune phrase fut sorti de la bouche de nos deux visiteurs. Je regardais encore Juliette,mais cette fois-ci aux yeux et direct.

J'avais l'intention de dire quelque chose afin de briser ce silence,mais rien ne sorti jusqu'à que je dise ;

- Bon sang, es-tu prêt ou pas?

Étonné, Juliette et Mathieu retournèrent ses yeux vers moi.

- Tristan.. Laisse-le prendre son temps répondit ma mère.

Je baissa ma tête et continua à manger. Plutôt à jouer avec mes patates pilées.

Je ne savais pas qu'elle était enceinte. Max avait utilisé Juliette qui est mineur et que je pourrais allé le dénoncer pour avoir fait l'amour avec une mineure. Cependant, il me faudrait des preuves et j'en ai une qui est justement dans le ventre de Juliette. Utiliser le bébé comme preuve c'est parfait.

Je sourit par mon côté et je suis tellement dans ma bulle que je ne sais pas si Max avait répondu.

- Oui, je suis prêt à avoir un enfant répondit enfin Max.

- Bien.. dit Mathieu.

- Je voudrais vous demander quelque chose d'important reprend la parole Max.

- D'accord..

Il se leva de la table et regarda Mathieu au fond des yeux.

- Monsieur, Juliette et moi nous aimons profondément. Il y a des hauts et des bas tout comme dans chaque couple. Dit-il en tournant le regard vers Carole. Mais je voudrais vous demandez la main de votre fille. Je le respecterai. Je l'aimerai comme un fou et je serai son ami, mari, frère. Je la protégerai de tout mal. M'accorderiez-vous sa main?

La nouvelle me vint comme un choc. Comment hose-t-il faire ça? Je ne sais guère,mais ce que je sais c'est qu'il ne peuvent pas se marier maintenant. Car il faut avoir 18 ans.

Je tourna la tête vers Mathieu. Mon beau père. Le père de Juliette. Que dira-t-il? Tout les regards sont tournés vers lui. Aucun de nous peuvent répondre,mais lui oui.

- Tu serais prêt et fidèle? Demanda Mathieu.

- Oui,monsieur. Je n'aimerai personne d'autre que nos enfants et elle.

- Tu ne commettras pas de violence envers eux?

- Non. Je ne les battrai pas ni leur ferai aucun mal.

Il fut une face très pensive et il finit par dire ;

- Je t'accorde la main de ma fille à une condition.

- laquelle? Répondit Max.

- Que j'aille le droit de voir mes petits enfants quand j'en ai l'envi et m'accorder des heures avec eux. Fit-il d'un ton moqueur.

- Haha Mathieu, quel condition. J'ai cru pire. Commenta ma mère.

- Il ne faudrait pas séparer ma fille d'une personne qu'elle aime.. Bienvenue à la famille Max!

- Monsieur, madame,Tristan et Juliette, j'ai autre chose.. Fit Max en regardant chacun.

Il posa un genou par terre et il récita cela :

- Juliette.. Voudrais-tu te marier avec moi?

Une énorme jalousie me monta jusqu'au cerveau. Je ne veux pas déplaire Juliette,mais je veux m'enfuir d'ici. Je ne sais où. Je n'aurai pas dû rester à souper. Impossible.

Ma mère s'est mise à pleurer. Ce n'est peut-être pas sa fille,mais elle fait partie de la famille et on ne peux pas être ensemble par deux causes.. Elle est fiancée et nos parents sortent ensemble.

Mathieu,lui, il les regarda avec tendresse. On voit sa joie dans ses yeux. Toujours aussi sentimental que ma mère,mais lui ne verse pas de larmes.

Ses soeurs aussi jeunes sont excités par la nouvelle. Juliette est leurs exemple et tout ce qu'elle fait, c'est comme si sa serait bien,mais ce n'est pas le cas.

- Oui! S'exclama Juliette en se levant de sa chaise et se laissa mettre la bague sur son doigt. Elle embrassa son prince charmant et reprit sa place.

- Une belle nouvelle, mérite bien un bon dessert n'est-ce pas? Interrompe ma mère.

Nous acceptâmes tous un morceau de gâteau.

La nuit était tombé et nous sommes tous fatigué. Mes yeux s'entre ferment et ceux de mes demies-soeurs aussi.

- Tristan voudrais-tu faire coucher les filles? Demanda Mathieu.

- Oui.

- Je t'accompagne! Fit Juliette.

Je répondis surpris par sa réponse un " D'accord ".

Je monta les escaliers et me dirigea vers la chambre des deux petites. Ma mère avait tout remodeler la maison afin qu'il ait quatre chambres en haut et une chambre au sous-sol.

Les deux petites se changèrent et se couchèrent sur leurs respectifs. Puis, je leurs raconta une histoire.

À la fin, je sorti de la pièce et voulant descendre les escalier, une forte pression me faisait bousculer vers ma chambre obscur.

- Juliette??

- Chut...

L'amour n'a pas d'âge.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant