Chapitre 1

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Avoir 16 ans c'est un privilège celon moi. Aujourd'hui, j'ai eu 16 ans et je suis rage de bonheur de pouvoir découvrir ce que c'est le travail. Je travaillais avec mes parents à des nettoyages de maison et de bureau. Oui ,mes parents ont leur petit emploi de côté lorsqu'il n'y a rien. Nous nous considérons ni comme les riches ni comme les pauvres ,mais parfois il nous manque de l'argent à la maison. Nous sommes cinq et il est très difficil d'acheter des cadeaux de Noël pour tout le monde surtout si mes soeurs commencent à écrire leurs cartes au fameux Père Noël.

J'ai un jour de classe normale. Des cours auquels je pourrais bouger et comprendre des situations. Je commence avec de la Danse pour bouger mon grand corps à la façon d'une balerine admirable à la télévision.Par la suite un peu de d'Éthique pour nous comprendre l'être humain. Pour la troixième périodes un peu d'Histoire de notre Pays. Pour conclure du Français. J'adore le français! C'est les moments auquel j'aime passé mon temps à lire et à écrire des romans de tout et de rien. Allons voir nos amis ce qu'ils m'ont préparés aujourd'hui.

Je descend de l'autobus tranquillement en saluant le chauffeur avec politesse. Il y a peu de gens de mon âge qui ne comprennent toujours pas qu'il faut être polit avec les autres. Comme je répète sans cesse : il ne faut jamais faire aux autres ce que tu ne veux pas que l'on te fasse.

Je resors de ma bulle et j'entend au loin mon nom. Puis je me retourne et sans même y penser mon ami m'a sauté dessus et me souhaite de joyeux anniversaire. Mon cher ami Paul est un garçon détaillé auquel je peux lui faire confiance. Un garçon très bien bâti avec des abdominaux et des yeux charmants. Ma meilleure amie se raproche de moi avec un sac de cadeau. Que manigance-t-elle encore? Elle doit toujours m'impressioné cette fille. Si ce n'est pas un cadeau c'est une lettre , si ce n'est pas un message c'est un geste. Ma belle Carina me fait toujours de belle surprise. Je n'ai même pas eu le temps de saluer le reste de mes amis et amies proches. Ce n'est pas grâve. J'irai les voirs après mon cour de Danse.

Après quelque temps de chasser, pas lever, je crois que mes jambes commencent à s'affaiblir après trois heures de pratique sur une piste de danse en ayant les pieds nues. La chaleur de la pièce n'est pas étouffante ,mais je sens la présence de la chaleure dans mon corps. C'est pas sexy être rempli de sueur lorsqu'il y a des beaus bonhommes qui passe devant l'auditorium. L'Haloween approche à coup de fouet. À peu près trois semaines ? Oui ! Le 31 octobre est ma présentation de danse. Après des semaines et des semaines de pratique , je croix être sur que tout sera parfait à moinqu'il ait des petits détails comme quelqu'un qui manque de détail ou n'est juste pas capable d'enchaîner les mouvements et de les transformer en une excellence.

Tout d'un coup quelqu'un me fait un léger bousculement vers l'avant et me crit « BONNE FÊTE JUULIETTE !! ». Je tomba de terreure par la grosse voix et sans même hésiter je me retourna d'un coup sec en voulant me reprocher envers la personne ,mais sa silhouette m'impressiona. Un jeune homme au yeux brun , cheveux brun. Un grand corps musclé attira mon attention. Je me tus et il m'aida à me relever.
- Je suis désoler. Dit-il en me regardant au yeux. Je n'ai pas voulu que tu tombes comme cela.
Je hoche la tête pour lui montrer que je vai bien.
Comment sais-tu mon prénom? Demandais-je.
Tu voix ce garçon là-bas? C'est lui. Il m'a dit que s'était ton anniversaire aujourd'hui et j'ai voulu être gentil alors je suis venu te le dire sauf que j'ai accidentelement mal glissé sur la piste et je t'ai bousculé.
Ah ! D'accord. Merci beaucoup !
Je m'appel Maxence Champagne. Ravi de faire ta connaissance !
- Enchantée , moi c'est Juliette. Juliette Balderas.
- Allons allons, mes danseurs préférés. Arrêter de bavarder c'est le temps de répété notre chorégraphie d'Haloween!

Je me suis mise en place et la musique entra en moi. Je met un pied sur la scene et je me sens comme une plume. Je peux inventée des pas de danse. Je peux sautée , me roulée par terre et faire des roulades sans même me faire mal. Je croix peut-être devenir une danseuse professionelle, mais je ne sais pas si ça m'apporterai beaucoup. Je suis forte. Je pourrai passer une journée complète à danser sans penser aux autres qui se trouvent au alentour de moi. Aux personnes qui sont sur cette planète et que je sois la seule qui existe. C'est une sensation d'énérgie qui entre dans mon corps et qui me change les idées avec des gestes brusques. Ma passion pour la danse. Oui c'est bien une passion la danse pour moi. Alors ma passion pour la danse pourrait refléter mon futur.

Je n'ai jamais eu l'appui de mes parents. J'ai su avancer par moi même sans même dépendre de mes parents. J'ai du apprendre sans même avoir un exemple. Depuis 2004, je me suis débrouillé seule à me défendre. J'ai perdu mon enfance et je suis entrain de sauté mon adolescence. Le 10 Septembre 2004 fût la naissance de ma soeur. Florentine Balderas est née à l'Hôpital Général Juif à Montréal tout comme moi.

- Juliette?! Que fais-tu? Murmura Émilie.
Et sans m'appercevoir , j'avais mes yeux posé sur Maxence. Il n'était pas laid. Il savait comment séduire une fille avec un seul regard. Il venait justement de le faire avec moi. Son sourire de charmeur. C'est yeux d'amateur d'un film d'amour. C'étais l'homme idéal pour toute les filles ,mais il n'avait toujours pas passé une preuve que je garde à tout les hommes qui me plait. Je refuserai tout les garçons de mon école par leurs comportements inacceptables.

- Désolé , je regardais le plafond. Dis-je. Comment ai-je pu dire que je regardais le plafond de l'auditorium? Quel intéligence j'aurai peut-être pu dire que je regardais Laurence danser. Laurence était une des troixièmes meilleures danseuses de la classe. Elle prenait son temps à pratiquer les mouvements et les coordinations des bras ainsi que ceux des jambes. Bref, elle est bonne.
- D'accord. Finit-elle.

Il est 11h00 am et la cloche de l'école n'a pas encore sonnée. Il se peut qu'il eut des problèmes au niveau du système. Madame Germaine nous laisse sortir défois quelque minutes avant la cloche donc je suis certaine que ça ne lui derangerait pas que je sorte maintenant. Je prend la peine biensur de mettre mon uniforme biensur puisqu'ils sont très strictes ici à Curé-Antoine-Labelle. Tu as mit aujourd'hui un chandail noir achetté du magasin Stitches avec aucun logo par dessus. Refusé! Tu dois porté le logo cousu sur ton chandail. Sur ce qui est le pantalon j'avoue qu'ils ont commencer à permettre les jeans. L'an prochain, je dis qu'ils vont permettre nous laisser porter nos habits quotidien. Je l'espère fortement. Croisont les doigts pour cela.

L'amour n'a pas d'âge.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant