Assise sur ton canapé, glace à la main, tu pleures. Tu pleures parce qu'il est parti, qu'il t'a laissée. Tu pleures parce que tu as mal, tu te sens brisée. Tu pleures aussi des cicatrices encrées dans ton coeur.
Quelques année plus tard, à la naissance de ton premier enfant avec l'homme qui a réparer tes maux, tu pleures. Tu pleures de joie, de soulagement, de fatigue.
Ton enfant vieilli et devient indépendant. Il a son permis de conduire, son appartement. Il part de la maison et tu pleures. Tu pleures son départ et le vide qu'il a laissé.
Un soir, tu organises un dîner en famille. Il y a une petite tempête de neige dehors, Mais rien de grave. Pourtant, ton enfant a dérapé et percuté un garde-fou.
Tu pleures lorsque tu apprends la nouvelle. Tu pleures à la vue de son corps inerte, sans vie. Tu pleures au ciel qui t'a enlever ton enfant, ton bonheur. Tu pleures et tu ne cesseras jamais de pleurer.
Tracy 15 juillet 2016
P'tit texte avec aucun sens !! Mais je l'ai écris quand même tard pendant la nuit(1h15) donc faut pas trop juger.
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Entre les murs...
PoesíaNous ne sommes pas expertes, certe. Nous sommes même débutantes dans ce milieu poétique. Mais écrire des poèmes/textes est comme une passion pour nous. Ils sont souvent tristes et vident de sens. C'est le mieux que l'ont peux faire. Il se peut que v...
