- tu as aimé ? Me demande t'il... je souris et alors que je sens sous son pantalon noir son pénis qui se durcie... je l'embrasse.
- j'ai adoré.
J'aime quand il me traite comme une esclave, quand il m'ordonne de m'allonger.
Un jour s'est passé depuis cette dernière nuit... deux depuis notre mariage.
Ce garçon si beau ... au quel j'étais forcée au mariage aimait une autre fille bien plus belle que moi... je lui ai promis en échange qu'au lit je le laisserai faire ce qu'il veux de moi.
- ce soir ... je vais dormir seul.
Dit il... nous faisions chambre a part même pendant notre lune de miel.
- Demain... on fera autre chose un ? Demandai-je toujours assise sur lui dans la cuisine de cette si jolie maison.
- Demain ? Bien sur. Mais aujourd'hui aussi je veux que tu fasses quelque chose avec moi.
Dit il. Je n'étais pas reposée et je pouvais dormir debout mais si il voulait encore de moi il n'y avais pas de problèmes.
- je ne te promet pas d'être aussi détendue qu'hier... murmurai-je sa main sous son propre t-shirt que je portais attrapait mon sein une sensation apaisante... il était doux pour une fois.
- oh non tu n'aura que quelques trucs a apprendre en échange je te laisse choisir l'endroit où tu me tailleras une pipe.
Je descends ma main vers son entre jambe et le serre dans ma main droite.
- je veux être une bonne femme.
- tu as été particulièrement bonne hier. Il grogne alors que je serre plus fort. Je sourie c'est marrant. Il me soulève sans aucun effort et me couche sur la table de la salle a manger...
- Tu ne me semblais pas soumise a cet instant... dit il coutre ma poitrine. Sa main remonte lentement mon t-shirt trop grand. Je glousse
- fais moi mal. Dis-je. Il sourit presque. Il m'embrasse violement a se que nos dents claquent les unes contre les autres je me redresse contre lui il m'enlève ce t-shirt je suis a nouveau nue.
Il me repousse je sens le froid du verre de la table contre mon dos ... une table en bois noir sur la quelle a été incrusté un énorme miroir.
Mes jambes l'entourent et j'ai envie de nouvelles sensations. Ses lèvres sont sur mon cou il me mordille et descend il m'embrasse entre mes seins et soudain il m'aspire cette peau laiteuse qu'est la mienne... je sens sa langue chaude contre moi.
Il me suce la peau.
Je gémis de douleur mais j'aime tellement cette douleur il me met dans tout mes états.
- essaye de te taire. Me dit il... je glousse il plaque légèrement sa main droite qui sent le savon contre ma bouche et je souris en lui léchant la paume lentement en salivant
Il me lèche le téton droit et soudain alors que sa main gauche appuie sur mon clitoris il me mord légèrement le téton droit je gémis si intensément...
- oh putain petite cochonne...
Murmure t'il.
Je sourie et maintenant je sens plus l'excitation qui monte en moi.
- je voulais pas te baiser ... mais putain tu me donne trop envie de te déchirer cette petite chatte. Dit il en enlèvent son pantalon et son boxer.
Je suis si heureuse. Je n'ai jamais autant aimé mon corps.
Il m'embrasse et je le sens enfin...
Sa y est il me baise enfin depuis la dernière fois j'avais voulu qu'il continue hier soir mais là...
- chut... ne dis rien... dit il souffle court. Je me laisse faire accompagnant son mouvement d'un rythme lent et inversé au sien... comme dans un miroir pour le stimuler encore plus.Je ne m'entends même pas jouir.
Je l'entends juste respirer bruyamment et jurer.***
Il me laisse respirer je souris et ferme les yeux... mes dernières forces épuisées dans cet ultime effort. .. je m'endors.
Je me réveille dans ces bras... dans mon lit... je le regarde, comment fait il cela ?
Il ne m'aime peux t'être pas comme il a aimé cette pauvre fille mais moi je sais que je suis là et que je suis bien moi et non elle.
Je repousse mon mari.
Je me lève et je m'incruste dans la salle de bain, je fais couler une eau tiède sur mon corps bouillant.
Je souris. C'était bien pour une fois.
Encore quelques jours ici et je rentrerais a son bras il la retrouvera elle et je n'existerait plus.
Il ferme la porte je me retourne et le regarde je ne sais pas si je suis autorisée a parler.
- demain matin...je vais rentrer je reviendrai demain soir.
Je le regarde et il vient me rejoindre je n'ai pas la force de faire l'amour encore une fois... il a l'aire de comprendre il doit être sans doute lui aussi crevé.
Je me laisse aller contre lui alors qu'il me masse la tête ses sois emmêlés dans mes cheveux bruns éparpillant le shampoing sur mon crâne.