Johnson me regarde... mes parents ne se sont pas encore levés.
- tu pourrais trouver quelqu'un pour moi ? Demande-je.
- tout ce que tu voudras. Dit il je soupire et bois une gorgée de thé.
- trouve moi un garçon nommé " Diego Garin".
Il affirme et je lui fais signe de s'en occuper.
Je dois savoir par moi même, j'ai un peux peur de le revoir, et des souvenirs vont me hanter mais je suis prête pour connaître la vérité sur les sentiments d'Adrien envers moi.
Je soupire on était bien aux caraibes...
Il n'y avait pas de problème.
Mon téléphone sonne une enimème fois. Je décroche.
- allo ? Sa voix me parvient.
- je suis désolé, je n'aurais pas du crier ce genre de choses tout haut. Dit il. Je soupire.
- c'est juste que je suis jalouse d'elle. Dis-je. Il hesite.
- tu veux la rencontrer ? Je te le dis et je te le répète tu es la femme idéale pour moi,Jessica n'aurais jamais rien supporter.
Je repense a Diego.
- j'ai pas envie de vivre cette vie, ce mariage, je ... j''ai beusoin de temps.
J'entends mon père descendre les escaliers.
- Mais moi j'ai pas prévu d'attendre, Diana. Je reviens àa la réalité lorsqu'il prononce mon nom.
- une semaine... et ensuite je te promet de te donner une réponse. Je racroche, mais je regrette déjà davoir donner un si long délai.
- Diana ? Je croyais que vous deviez venir cet après midi... oú est...
Je me lève et viens m'asseoir pres de lui comme au bon vieux temps:
- petit problème de couple rien de grave. Il me fixe il dit avec un petit sourire qui ressemble fortement au sourire pervers d'Adrien.
- a votre age ta mère et moi on ne pensait qu'au sexe et a rien d'autre. Je me raccla la gorge.
- il ne s'agit pas de ça... enfin si presque mais c'est pas grave je dois juste y reflechir. Il affirme d'un signe de tete.Ce matin Johnson ma prévenue qu'il la retrouvé... c'est lundi...
Mon major d'homme s'occupe de ma grosse valise et je je regarde ce vieu bâtiment ce lycée pour filles que j'aime tan.
- vous devriez faire un tour dans votre appartement. Dit Johnson. J'accepte et il me suit sur le campus lycéen.
J'entre dans l'aile sud, une bonne partie de ces filles sont célibataire et un autre partie sont lesbienne mais cela ne choque que les vieux.
Je monte les escaliers et au deuxième étage je prends mon couloir.
Chaque trimestre les chambres changent mais pour une fois je connais la mienne.
Je frappe avant d'entrer. J'ouvre la porte cette fille a la queu de cheval me regarde je souris et elle me saute dans les bras dans un petit cris de joie
Linda Sarro, ma meilleure amie. - alors, Madame Hole ? Je grimace j'aime pourtant ce nom je regarde Johnson partir et je raconte tout en me déshabillent.
- on a couché ensemble ... je compte sur mes doits ...
- trois fois je crois. Continuai-je.
- trois, c'est tout ? Me demande t'elle... elle semble déçue je met ma chemise blanche.
- on n'est pas des sexe machines non plus Linda.Elle soupire.
Je suis sur qu'elle voudrait elle aussi se marier a un beau prince charmant... menteur.
J'enfile ma jupe écossaise rouge.
Linda me regarde :
- remonte un peux cette jupe c'est affreux. Je rigole mais je refuse.
- tu sais que les profs sont des pervers dans ce bahu. Elle me fixe.
- justement c'est pour ça que tu dois les faire baver sur ton joli petit cul, intouchable, aller remonte moi tout ca et tiens toi droite. Je rigole et m'exécute.
C'est une tradition ici avec les profs, toutes ces adolescentes en beusoin d'amour et de sexe, la moitié des filles ici se tapent des vieux.
Mais moi je suis mariée.
Mon premier cours... Après le long discourt du directeur etait le cours de géographie enseigné par Monsieur Dufall, surnommé monsieur Bugatti.
Pourquoi, aucune idée mais cela fait des dixaines d'années qu'il porte ce nom... je ne me sens pas trop bien en cours et je crois qu'au suivant je ferais un petit tours dehors.
Mais plus le temps passe plus j'ai l'impression de me sentir encore plus mal.
Je pense a Adrien et puis a Diego... je le verrais peux t'être demain.
Je lui poserais les questions qui me chiffonent l'esprit
Et il m'en donnera les réponses... aussi simple que cela.
Je déteste ma vie.
Me dis-je alors que la cloche sonne.Je seche le deuxième cours... non que je sois rebelle mais je me sens vraiment mal.
Et puis je deteste Monsieur Dafag ... allias Dafalgant.
Je soupire et m'assies devant l'infirmerie.
Je croise monsieur chopin... un prof de physique.
- hé bien mademoiselle... il s'arretes et je le corrige.
- Madame...Hole. il souris presque et me demande.
- il y aurais t'il quelques chose que je puisse faire ? Je soupire et Madame Copin sors de l'infiremerie...
- Georges arretes avec ces jeunes filles ! Aucune d'elle ne voudra jamais de toi aller file d'ici... que mademoiselle Hole se repose un peux... aller ouste ! Il s'en va en gromelant et je rigole et me relève. Elle me regarde avec des yeux doux et me laisse entrer au paradis des flemards.Je regarde sans le couloir sombre, perssone pour vu que je ne tombes pas sur un de ces profs pervers ! Mes chaussures a la main de traverse le couloir heureusement que les planchers ont étés refais l'année passée.
Je m'arretes et écoute, perssone je me calme et regarde en bas des escaliers les veilleuses sont toujours allumées je me rassure. Alors que je descends a pas de loup je surprends une discution.
- aller ... ma douces laisse toi faire. Je regarde dans le couloir de droite... je n'arrive pas tres bien a voir mais je sors mon téléphone et sors de ma cachette : - Je serais vous je la lâcherais tout de suite... dis-je d'une faible voix... je regarde la photo bien nette qie je viens de prendre. Dafalgant me regardes sidéré et Mélanie Pottens se rue a mes côtés... elle est pale.
- ce n'est pa... et puis quest ce que vous faites a une heure pareille dans les couloirs Hole ?
- ca vous amuse de jouer avec mon nouveau nom de famille ? Ne posez pas de question et foutez le camps si non je vais voir les parents de Pottens avec cette photo.
Il jure et s'en va.
Je me tourne vers elle et je la racompagne vers sa chambre.
Elle ne m'a rien dis meme pas remercier, elle fera demain.
Zut avec tout ce grabuge j'ai oublié ma première mission.
Je retournes sur mes pas et je prends la porte de l'ouest.
Dehors il fait froids mais je suis habillé pour la sortie nocturne.