Je regarde la mer.
Quelle beauté matinale.
J'ai passé une très longue nuit. Tellement longue j'ai trop dormis.
Il est parti vers 19h hier soir et je me suis tout de suite couchée et j'ai dormis.
Je regardes la salade de fruit que je mange pour le petit déjeuner...
Il est cinq heures du matin.
Je termine les derniers bouts de melons et d'abricots.
Je sors sur la plage... cette petite île en possède deux.
Celle ci est ma préférée. J'enlève mon peignoir et nue je marche vers l'eau.
Je suis enfin seule.
Une fois dans cette eau tiède, je regarde la maison elle est si belle. J'aime tant ma solitude... bientôt je vais rentrer et me faire interroger par ma petite soeur et ma meilleure amie.
Je n'aurais sûrement plus l'occasion de coucher avec mon mari avant longtemps.
Je nage un peux plus loin et fais la planche.
J'inspire et expire.Le garçon qui s'occupait de nettoyer la maison était jeune et beau... il était un peut muet.
Néanmoins il me demande :
- Ca fait quoi le sexe ? Je pris une gorgée de thé noir... en le regardant laver par terre... je ne portais que mon peignoir sur moi.
- ça fait du bien je suppose. Il me sourit.
- et si j'ai envie de vous ? Je le regarde et je me raidit...
- je vous demande pardon ?
Il arrête son action et me regarde :
- vous avez bien entendu : il n'y a personne ici... je suis venu en bateau... si je vous viole ça passera inaperçu. Je me lève. Il dépose son balai contre le mur et enlève son t-shirt.
Je ne compris pas... il est mignon, il a un beau corps,
Pourquoi a il besoin de viol pour satisfaire ses besoin.
- Pourquoi ? Dis-je.
- on m'a payé pour cela. J'écarquille les yeux... que faire il est musclé avec des tatouages sur les épaules et sur les clavicules... il s'approcha...
- un violeur a gage
... si vous voulez de l'argent je peux vous en donner laissez moi... il me pousse sur le lit je le frappe et il continue en m'attrapant les poignets.
- je m'en fous de votre argent... j'ai reçu un travail je l'exécute. Maintenant crie son butai de nom pendant que tu te fais sauter.
Il sourit : d'une main, il me tiens les poignets au dessus de la tête ... de l'autre il dénoue mon peignoir.
-qui... qui vous a payer... murmurai-je alors que malgré moi... malgré la situation... mon corps réclamais...
- je vais te le dire a conditions que tu te laisses faire.
Jamais... jamais de la vie je ne me laisserais faire... accepter une telle chose.
- rêve sale fils de pute.
- tu sais pourquoi je fais ce boulot ? Il m'embrasse je m'apprête à le mordre mais il se retire trop vite.
- j'aime quand un femme me résiste j'aime quand je dois la forcer a jouir. Je le regarde mon visage doit sûrement refléter de la peur.
- biens tu veux savoir qui m'a envoyé ? Où je t'attache ?
Je te promet de te faire la totale si tu ne te tiens pas tranquille.
Il me pose un ultimatum : soit je me laisse faire et il me dit qui la envoyé mais surtout il ne fais que me pénétrer... soit je refuse de coopérer il me viole m'attache ne me dis rien mais me fais encore d'autres choses.
Je pense a moi et je repousse mon honneur et la lucidité qu'il me reste : ça reste du sexe, avec un individu qui ne me dégoûte pas, je suis mariée et je prends la pillule...
- il va te retrouver et te tuer... dis je en cessant de me débattre.
- quand tu sauras qui ma envoyer tu comprendras qu'il ne pourra rien faire.
Je pleurais alors qu'il me caressait la poitrine.
Quatre larmes... avant que ça n'arrive.