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#♫# A l'enfant qui a vu, Ce qu'il n'aurait jamais dû, Qui a ainsi perdu, Son insouciance. A l'enfant qui n'a plus, Dans la vie qu'une seule issue, Apaiser sa douleur, Dans la violence, De la douce vengeance #♫#
La jeune fille qui chantait à voix haute se stoppa quand elle vit son frère la regarder.
«Qu'est-ce-qu'il y a ?demanda-t-elle dans son innocence. —Ana, ça fait dix fois que je t'appelle,répondit-il agacé. —Oui, bah j'ai pas entendu. Qu'est-ce que tu veux ? —Papa demande si tu as bientôt fini de ranger. —Dit lui que dans une petite demie heure ce sera bon.»
Le jeune garçon sortit de la chambre de la jeune fille qui était en train de déballer ses cartons après le déménagement. Au bout d'une trentaine de minutes, elle eu finit de déposer les derniers objets servant à la décoration puis rejoignit la pièce principale de la maison: Le salon.
«Ha, Anaïs, tu as fini ?fit un homme d'une quarantaine d'années. —Oui, papa, pourquoi ?demanda la jeune fille. —C'est le dernier jours des inscriptions pour le lycée, et le collège, tu peux aller les déposer pour ton frère et toi ? —Yep ! Gaby, tu viens !»
Le jeune garçon d'une quinzaine d'années tout au plus descendit les marches. Les deux adolescents sortirent de la maison qui se trouvait dans un magnifique quartier, non loin de leurs établissements scolaires. Gabriel, surnommé Gaby était un jeune homme de quinze ans, il rentrait cette année en troisième au collège Sweet Uni Amoris. Une taille convenable pour un garçon de son âge, des cheveux bruns aux bord du châtain généralement en bataille faisant tous son charme, accompagné des yeux verts magnifiques. Sa grande sœur, Anaïs, surnommée Ana avait dix-sept ans et rentrait en terminale ST2S au lycée Sweet Lyceum Amoris. Ses long cheveux bruns terminant en tie and dye blond étaient d'une finesse et d'une douceur rare, ses yeux de couleurs verts gris, parfois bleus en contact avec l'eau et d'une touche de marrons près de l'iris était magnifique, changeant à la lumière. Leur parents voulant changer de vie, être plus présents pour leurs enfants avaient demandés une mutation dans une petite clinique et l'avaient eu dans cette ville : Sweet Amoris City. Cela ne dérangeait personne de déménager, les enfants avaient besoins de leurs parents, et vice versa.
«Ana ? On va où d'abord ?demanda le jeune garçon. —Au collège, d'après la map du téléphone on y passe avant. Ha bah regarde il est là.»
