Chapitre douze

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~ -C'est notre fille ! fit une dame

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~ -C'est notre fille ! fit une dame.
-Vous l'avez abandonnée ! criait ma mère.


Les adultes se disputaient, mais je ne comprenais pas pourquoi, mais ils criaient fort.
Moi, je regardais le garçon qui tenait la main de son papa. Je suis comme attirée par lui, comme complétée.


-Bonjour ! Je m'appelle Anaïs Williams, j'ai dix ans.

Je m'étais présentée sous les regardes des adultes qui avait cessés de crier. Le garçon aux cheveux noirs me regardait avant de répondre:

-Je m'appelle Castiel Richard, j'ai dix ans !

On se serra la main. Je m'étais fait un nouvel ami, mais je ne savais pas si j'allais le revoir, parce que mon papa m'avait prit dans ses bras et je me voyais m'éloigner de mon nouvel ami. ~

Anaïs se réveilla dans une chambre blanche remplit de machine. Elle venait de rêver. Elle avait oublier ce jour, mais aujourd'hui elle s'en souvient. Elle avait déjà vue Castiel. Ce jour là, à travers les cris des adultes.

-Ha, vous êtes réveillez mademoiselle Williams ? fit une dame en entrant dans la pièce.
-Anaïs, s'il vous plaît. Où suis-je ? demanda la jeune brune.
-Anaïs, tu es dans une chambre d'hôpital, souriait la dame.
-Comment ça se fait ?
-Vous avez fait un malaise, apparemment un trop plein d'émotion.

Anaïs n'eût pas le temps de répondre que ses parents adoptifs entra:

-Anaïs, ma chérie ! s'exclama la mère.
-Qu'est-ce que vous faites là ? demanda Anaïs, d'un ton froid.
-Et bien l'hôpital nous a appelés.
-Vous n'êtes pas mes parents, sortez !
-Q-quoi m-mais qu'est-ce que tu racontes nana ?!
paniqua la femme de monsieur Williams.
-Je sais tout ! éclata Anaïs en pleure.
-Monsieur, Madame, sortez s'il vous plaît, intervient l'infirmière.

Les parents sortirent un peu retissant laissant Anaïs seule avec l'infirmière. Anaïs avait tournée son regard vers la fenêtre où on apercevait des oiseaux de batailler gentiment. Elle souffla arrêtant les nombreuses larmes qui avait coulées le long de ses joues .

Toc,toc,toc

La porte s'ouvrit faisant entrer Rosalya et Alexy

-Rosalya, Alexy ! s'exclama Anaïs.
-Anaïs tu nous as fait peur, informa Rosalya en la serrant dans ses bras.
-Comment tu te sens ? demanda Alexy.
-Un peu patraque et pas totalement remise, mais ça va, souriait Anaïs.
-C-Castiel nous a tout racontés...avoua Rosalya.
-Je lui en veux tellement, souffla Anaïs.
-Et ça se comprend, il aurait dû t'en parler mais... à présent il s'en veut, informa Alexy.
-J-je ne sais pas. I-il, faut que je me fasses à l'idée qu'il est mon frère...
-Il est peut-être ton frère jumeau, mais vous êtes pas pareil !
remarqua Rosalya.
-C'est vrai, or mis pour la musique ! ajouta Alexy.

Anaïs riait aux remarques de ses amis.

-Madame ? demanda Anaïs à l'infirmière.
-Je m'appelle Julie, souriait cette dernière.
-Julia.. Je peux aller voir mes amis ?
-Oui bien sûr, mais en fauteuil roulant !
-Je ne peux pas marcher ?
-Non, c'est le protocole.


Anaïs ne grincha pas puis s'installa dans le fauteuil, poussée par Alexy. Ils passèrent devant plusieurs chambres, certaines calmes, d'autres moins. Ils descendirent dans le hall :

-Anaïs ! s'exclama la rousse.

Ses amies venait l'embrasser avec quelques commentaire comme "tu nous as foutue une frousse" de Kim ou "Ne nous refait plus ça" d'Iris. Violette resta neutre et timide en lui demandant si elle allait mieux. Quand à Kentin et Armin, ils la taquinèrent. Lysandre lui envoyait un sourire avec un "heureux de te revoir" et Castiel n'était pas là. Anaïs le cherche du regard. Une tignasse rouge aux yeux gris manqués à l'appel. La tristesse mais aussi la déception envahie les yeux verts/gris de la brunette.

-Il est dehors, remarqua Lysandre.

Anaïs se leva alors du fauteuil et se dirigea vers la sortie malgré que Rosalya lui demanda de prendre son fauteuil. Il était dehors, effectivement, mais avec quatre parents. Les Richard et les Williams.

-C'est de votre faute tout ça ! déclara la mère adoptive d'Anaïs en visant Castiel.
-Laissez mon fils en dehors de ça ! cria sa mère.
-Il n'avait cas pas tout révéler à Anaïs, elle ne serait pas ici !

Castiel allait répondre mais Anaïs fut plus rapide:

-Il ne m'a rien dit, c'est vous qui me l'avez dit sans savoir.
-Anaïs !
cria sa mère. Mais...
-Je vous ai entendue en parler avant que je ne partes chez Rosalya
, continue telle au tac au tac.
-Pourquoi ? demanda sa mère adoptive.
-Ne pas vous avoir dit ? Quand vous apprenez que vous avez un frère jumeau, que vos parents ne sont pas les vôtres et tout le reste. Ça fait un choque !
-Je suis désolée...
baissa telle la tête.
-Désolée ? Pourquoi me l'avoir cacher ? Alors qu'ils sont venus à New York !
-Tu t'en souviens ?
s'exclama telle.
-Ce souvenir met remonté à la surface..
-Anaïs, nous sommes...
fit la dame en face de celle qu'elle considéré comme la génitrice.
-Mes vrais parents ? Je penses l'avoir compris. Et tout ça met égale. Je suis venue pour parler à Castiel.
-Pourquoi ?
demanda ce dernier.
-Viens, termina Anaïs.

Anaïs et Castiel avancèrent côtes à côtes marchant dans le jardin de l'hôpital. Aucuns d'eux n'engagea la conversation, mais Anaïs brisa se silence imposant:

-Pourquoi tu ne m'as rien dit ?
-J-je...Quand je l'ai appris, ça m'a fait un choque. Je ne voulais pas que tu l'es aussi...
-Tu aurais fait quoi Castiel ? Me le cacher indéfiniment ? M'éviter continuellement ?
-Je ne sais pas... Mais apprendre que j'ai une sœur, jumelle... J'ai été choqué, surpris. J'avais ressentis un lien fort entre nous, mais j'arrivai pas à le définir, je croyais être amoureux de toi, mais en apprenant ça, mes impressions ont disparut et je te voyais plus comme ma sœur. Mais tout ça ne faisait pas disparaître le choque immense que j'ai eus...
expliqua Castiel.
-Tu t'en souviens de ce jour à New York ? continua Anaïs.
-Oui, et c'est pour ça que ton visage me disait tant quelques choses. Je savais que je t'avais déjà vu quelques part.
-Je m'en suis souvenue aussi..
-Tu m'en veux ?
-Non, j'aurai fais pareil...
-Et pour mes...nos parents ?
-Je ne sais vraiment pas. Je vais quitter la maison des Williams, je n'ai pas de rapport avec eux, or mis mon enfance. J'expliquerai à Gabriel qu'il restera tout de même mon petit frère, puis je chercherai un endroit ou dormir.
-Viens à la maison...
-Non Castiel. Je ne peux pas, je pourrais pas.. Je vais demander à Rosalya si elle peut m'héberger un moment le temps que je trouve un appart et un petit boulot.
-Et nous deux ?
-Et bien j'ai appris que j'avais deux frères,
souriait Anaïs.

Castiel la prit dans ses bras, la serrant fort. Puis ils rentrèrent dans l'hôpital rejoignant leur amis. Ils passèrent une bonne partie de la journée ensemble. Rosalya prit Anaïs a part :

-Alors comment tu te sens ? demanda l'argentée.
-Mieux, avec vous, souriait Anaïs.
-Tu vas faire quoi ?
-Rosalya, je sais que c'est super délicat de te demander ça, mais tu pourrais m'héberger chez toi, je t'aiderai et tout, je chercherai un petit travail et ensuite un appartement...
-T'inquiète pas, j'en ai déjà parler à Leigh et Lysandre. Tu seras mieux avec eux que chez moi,
souriait sa meilleure amie.

Anaïs l'enlaça. Puis Castiel vient la chercher pour lui dire qu'il fallait parler aux parents.
Anaïs expliqua alors ce qu'elle fera.

-M-Mais tu es trop jeune ! s'exclama la femme qui la élevée.
-Pas du tout. J'ai décidée que j'aurai le droit à des explications mais de la part de mes vrais géniteurs, informa Anaïs se tournant vers ses parents.
-Tu veux savoir quoi ? demanda le père.
-Tout ! Pourquoi vous m'avez abandonnée ! Pourquoi nous avoir cacher que l'on été jumeaux. Tout !
-Quand on a appris que l'on allez avoir des jumeaux, on été fou de joie, mais on savait que financièrement c'était impossible. Nous étions tellement jeunes, et venions à peine entrés dans le monde du travail. Nous n'avions pas de situation stable. Alors à la naissance on a dit aux médecins, qui était enfaite les Williams, de ne pas nous dire les sexes et de nous donner le premier né. Nous voulions que le second bébé, soit dans une famille respectable, pour qu'il y ait une bonne vie et ils se sont proposés, nous avons acceptés de suite, sachant que tu allais avoir une belle vie avec eux. Sauf qu'un jour des souvenirs nous remontes et Castiel avait envie d'avoir un petit frère ou une petite sœur. Nous avons repensés à toi. Nous sommes retournées à New York pour apprendre auprès des archives de l'hôpital que les médecins Williams travaillaient encore ici. Nous avons su que le second bébé était une fille. Nous avons trouvez facilement leur adresse, puis avons essayés de te voir, puis tu connais la suite...



Anaïs était perdue. Elle comprenait mais en même temps ne pouvait l'accepter. Elle se leva puis sortie de la chambre, avec ses derniers mots:

-J'ai besoin de temps.

Clair et net. Elle sortit rejoindre ses amis suivit d'à présent, son frère jumeau.
Même après tout ces révélations. La partie vide en elle avait disparue. Peut-être qu'elle avait toujours ressenti que ça place était ici, à Sweet Amoris City.


Et voilà le chapitre douze :pJ'espère qu'il vous a plus et que la révélation générale aussi :p

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Et voilà le chapitre douze :p
J'espère qu'il vous a plus et que la révélation générale aussi :p

Une vie d'ado quoi !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant