Chapitre 7

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Je me levais et entrais dans le chalet.

Pour ne pas éveiller les soupçons, il fallait que je paraisse le plus naturel possible.

Je me suis rendue compte que je stressais.

C'est normal puisque ça sera la première fois que je quitte ce chalet de fous en plus toute cette histoire me dépasse et je n'ai pas trop le choix! Je pourrai me faire des amis vivre comme une fille de mon âge. Aller à l'université...

Fallait vraiment que je me repose avec ce long voyage qui m'attend, cette histoire de clans me montaient à la tête.

Mais quels sont ces quatres clans?

J'allais dans ma chambre et préparais quelques affaires.

Je prenais le petit sac que m'a offert la propriétaire d'un magasin de sacs à main et de chaussures puis j'y mettais : un jean, un t-shirt, une paire de baskets, une lampe-torche, et une dague pour me défendre au cas où.

Je prenais le sac et le mettais sous le lit puis je sortais pour aller voir Sawn.

Je frappai à sa porte mais personne ne répondait alors j'entrais.

On ne peut pas dire que sa chambre est accueillante.

On dirait qu'une tornade, même pas, un ouragan est passé par là.

Sawn était là, assis sur le sol, près de la table de chevet.

-Que fais-tu ici ?

-Je suis venue m'excuser de t'avoir laissé en plan hier. C'était pas de ma faute car Ashley avait donné pour ordre de m'enfermer dans ma chambre. J'espère que tu comprends.

-Ah bon je comprends mieux mais s'il-te-plaît sors.

-Quoi, je viens m'excuser et toi tu me...

-SORS D'ICI, DÉGAGE, FOUS LE CAMP, HORS DE MA VUE

-D'aaaccord...pas de problèmes je m'en vais et je ne suis pas sûre qu'on se reverra. Bye

Bon je ne sais pas ce qu'il a... je n'allais quand même pas m'énerver devant un rien.

Après quelques heures passées à airer dans le chalet. Je me retrouvais dans la salle à manger pour dîner.

-Bonsoir, vous pouvez commencer sans moi. J'ai pas faim Je vais aller me chercher un avocat à la cuisine.

-Mais après je ne voudrai pas te voir airer dans le chalet: tu devras aller dans tes appartements.

-Ok.

Les minutes passaient et j'attendais que Aaron passe m'enfermer.

Ah, le voilà je faisais semblant de dormir et attendais.

Après m'être assurée qu'il s'éloignais, je sortais un double de la clé et ouvrait la porte.

Je m'assurais qu'il n'y avait personne, prennais mon sac et marchais sur la pointe des pieds.

Tout à coup, je sentais une odeur de vin et seul Aaron sentait la vigne. Quelqu'un approchait avec une lampe à pétrole.

EllEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant