Chapitre 8

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Heureusement que j'étais dans la salle à manger.

Immédiatement, je me mettais sous la table et bloquais ma respiration en attendant qu'il parte.

D'où j'étais je pouvais voir ses pieds. Il s'arrêtais un moment puis quittais la pièce.

Je reprenais mon soufle puis
reprenais mon chemin.

Je changais de couloirs puis arrivais devant la porte de la cave.

Avant d'entrer je sortais la dague de mon sac et la mettais à l'intérieur de ma manche juste au cas où...

Bon j'entrais et descendais les marches une à une, je vois qu'il y a des torches de feu le long des murs. Ça doit être Vanessa, elle doit être passée avant moi.

Je ne savais même pas pourquoi je la suivais...comme ça.

La cave était poussiéreuse, il y avait des rats, des toiles d'araignées, des cafards, des lézards et maints autres insectes.
Des galeries par ci et par là.
Elles étaient faites de d'alésage en pierres superposées de manière horizontale. On se serait cru dans un film d'horreur. Certaines galeries n'étaient pas éclairées. J'en déduisais que je devait passer parcelles qui étaient pourvues de torches allumées.
On aurait dit un labyrinthe comme dans celui de Harry Potter et la coupe de feu là où il était avec son pote dont j'ai oublié le nom...
Au fur et à mesure que j'avançais, j'entendais des bruits, des vibrations...
Une cave qui donne la chair de poule. Ce n'est pas étonnant vu que cette maison était bizarres ainsi que ses habitants.
J'espère qu'à force d'avoir vécu avec eux, ici, pendant des années je n'étais pas devenue comme eux.
J'avançais et trouvais un sac et à côté il y avait une personne portant une cape : c'était Vanessa.

Pour attirer son attention, je me raclais la gorge.

-Hum...Hum...

-Ah c'est pas trop tôt. Allons-y. Allez, Allez presse-toi.

-D'accord je viens c'est que cet endroit est bizarre et me donne la chair de poule.

-Va falloir t'y faire Angela.

On continuait à marcher jusqu'à ce que la cave fasse place à une grotte qui se divise en deux chemin.

-Lequel on doit suivre?

-Attends je réfléchis.

-Je crois qu'il faut prendre celui de droite parcequ'on sent un courant d'air venir de là-bas à nous.

-Non, prenons celui de gauche et s'il-te-plaît ne discute pas.

-D'accord.

Mais pourquoi je faisais tout ce qu'elle me disais sans discuter...peut être parce qu'elle m'a inculpé des valeurs. M'incitant à la respecter.

On marchais et tout à coup on se retrouvais devant...

EllEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant