Chapitre 10

23 3 0
                                    

-Ne pose pas de questions ou...,chuchotait-elle

-Ou..., lui disait ma tante.

-Pardon...rien!

-Dépêche-toi, et Quand est-ce-qu'elle sera prête.

-Dans quelques minutes...au faite j'ai besoin d'un peu de son sang, d'un de ses cheuveux, et de ses larme.

-Je m'occupe de ça.

Elle s'approchait de moi, sortait une dague de je ne sais où, me la plantais dans le genou en le tournoyant jusqu'à laisser un gros trou.
J'hurlais espérant que tout ça ne soit qu'un rêve mais la douleur était trop intense pour que je me permette d'espérer.

-MAIS T'ES TARÉE...ÇA...FAIT ATROCEMENT MAL...AÏE
Je voyais par dessus l'épaule d'Ashley Vanessa qui me regardait avec une lueur de tristesse et de culpabilité dans les yeux puis elle se retournais et continuais son travail.
-Tais-toi.

Mais qu'elle folle ça fait hyper mal.

Oh le mouton, la vache. Je ne pouvais plus me retenir j'étais en train de pleurer et elle mettais sous mon œil un petit flacon.
Ensuite elle me tirait les cheveux.

Je la vois partir avec deux flacons, un où il y avais un peu de mon sang, l'autre où il y avait un peu de mes larmes et aussi avec quelques un de mes cheuveux, je les reconnaissais à leur couleurs marrons dans sa main.

Enfin la corde avait cédé.
Je me levais lentement en direction de la folle qui me sert de tante et Vanessa.

Je ne voulais pas le faire mais c'était ma seule chance de m'échapper.

Je m'approchais d'elles et les poignardais dans l'omoplate ce qui devait leur faire vraiment mal vu qu'elles criaient comme des enragées.
Et pour ne pas me faire attraper, je prenais leur tête et les cognais au mur ensuite elles s'étaiebt évanuie.

Après le spectacle, je prenais mon sac et m'enfuyais. On ne pouvait pas utiliser le mot s'enfuir vu mon genou en sale état. Je tentais de faire de la marche rapide mais je ne gagnais que de la douleur en masse à chaque pas.

Enfin j'arrivais à l'intersection et prenais le chemin de droite vu que je sentais un courant d'air.

Je suivais le chemin qui donnait dans la forêt.

Enfin libre. Je déchirait une partie de mon habitude et bandai sur tant bien que mal mon genou. Je titubais dans les bois sans me soucier de quel chemin prendre, l'essentiel c'était d'être loin de ce chalet de tarés même que Arthuro allais me manquer.

Après disons quinze minutes de marche je me reposais un peu. Les mains sur les cuisses je passais ma main sur mes cheveux et respirais un gros coup. J'allais reprendre la route lorsque j'entendais un craquement.

-YA QUELQU'UN ?

Aucune réponse.
J'allais repartir lorsque je sentais quelqu'un me mettre une espèce de petite serviette sur le nez.
Avant le trou noir, je pouvais sentir la forte odeur de chlororfome.
J'essayais de me débattre mais ensuite c'était le néant...enfin pas vraiment le néant.

EllEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant