Les barrières tombent

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Désolé pour le retard, des problème de connexion, attention, lemon.


On y est, les barrières tombent. Je ne peux pas, je ne peux PLUS résister. Même si mon cerveau essaie péniblement de réfléchir, tout mon corps me cri qu'une chose : fonce, ne réfléchie pas.

C'est à ce moment là que les mots magiques prononcé par Bri ... ma Brioche, se

font entendre.

- J'attends cet instant depuis si longtemps ... julien ... aime-moi ? Ses derniers mots lâchés comme un souffle.

Lui aussi ? Depuis longtemps ? Aime-moi ? Un sourire se dessine sur mes lèvres.

- Ma Marie-Bri, je t'aime depuis des années.

Il me répond avec son magnifique sourire qui lui dessine deux petites fossettes. Il est beau, c'est la personne la plus belle au monde à mes yeux.

Je lui caresse la joue et plante mes yeux bleus dans les siens. Je le regarde avec tendresse.

Voila, c'était si simple, si facile, si ... naturel. Combien d'années gâchées par ma bêtise et surtout ma peur.

Un coup de reins significatif me sort de mes réflexions. Je le fixe de nouveau, son regard m'électrise. Il dégage tant de désir, que cela me dévore instantanément.

En réponse, j'exerce une pression encore plus puissante du bassin. Il laisse échapper un petit gémissement sans cesser de me fixé avec avidité.

Je dévoile un sourire de convoitise, avant de m'emparer plus longtemps de ses lèvres si chaudes.

Je m'embrase immédiatement, mes mains se glissent sous son pull, sa peau est douce. Je le lui ôte et viens presser mon torse contre le sien. Je ne contrôle plus mes mains, elles s'agitent, elles s'affolent, désireuses de combler mon amant de caresses.

Lui est plus calme, plus tendre. Une main dans mes cheveux, et l'autre qui dessine des ronds sur mon dos. Nos bouches se détachent afin de reprendre notre souffle. Je dépose des baisés dans son cou, remonte saisir le lobe de son oreille entre mes dents, un douce plainte s'échappe de ses lèvres me prouvant son plaisir.

Il glisse une main dans mon jean, appuyant sur mes fesses pour augmenter la pression entre nos bassins. Je me redresse sur mes bras, pour faciliter mes mouvements. Je pousse brutalement mon érection contre la sienne. Lui arrachant un long gémissement, sa tête rejetée en arrière. Je poursuis mes vas et viens, qui échauffent nos sens.

D' un coup, il me bascule sur le dos et défait mon jean. Il glisse ses pouces sous celui-ci pour me l'enlever, ainsi que mon caleçon. Ma virilité enfin libérée, se dresse fièrement. Bri l'effleure du bout des doigts, la caresse, l'explore. Sa main droite se referme et entame des mouvements verticaux. C'est si bon, ce contact, son regard plein de désires, sa langue qui vient humidifier sa lèvre inférieur.

J'ai l'impression de rêver, lui, enfin LUI. Je me redresse pour plonger dans la réalité. Je défait le bouton et la fermeture éclaire de son jean, tout en l'embrassant. Je le descends, suivi de son caleçon, jusqu'à mi-cuisses. Il se tortille pour s'en débarrasser entièrement, et vient reprendre sa place.

Nos lèvres se retrouvent, nos langues entament une danse endiablée. Mes mains viennent appuyer sur ses fesses en les malaxant, pour intensifier nos mouvements. Il grogne, se cambre pour exprimer son approbation.

Nous dansons au rythme de nos désirs trop longtemps contenus. Nos corps, nos cœurs, nos souffles s'emballent.

Subitement, il s'assoie à califourchon sur moi, et place nos deux érections l'une contre l'autre. Il les saisies entre ses mains jointes et commence à nous masturber. C'est fabuleux, magique. Sentir son érection gorgée de plaisir tout contre la mienne me bouleverse. Il remonte vers nos glands pour récupérer les larmes d'excitations, qu'il étale sur nos sexes. Cette vision m'électrise, ainsi que son regard débordant d'envie.

Il reprend ses vas et viens, augmentant la pression. Il glisse son indexe entre nos deux verges, pour accéder à cette veine si sensible. Son regard m'épie , m'observe, déchiffre la moindre de mes sensations, afin d'augmenter mes gémissements.

Il me fixe si profondément que je n'arrive plus à déceler ma Brioche si sensible, presque fragile. Il s'est métamorphosé en Apollon sexy, limite pervers, pour mon plus grand plaisir. Il bouge légèrement son bassin afin que nos testicules se frottent, se bouscules, se mélanges.

Je n'en peux plus, des étoiles commence a danser devant mes yeux. C'est trop, « IL » est trop.

- Greg ... att... attends ... je ... HAAAaaaan.

Javais a peine ouvert la bouche, qu'il accéléra ses mouvements tout en remontant encore plus sur nos glands. nous jouîmes simultanément dans un râle unis à jamais, dans nos esprits et dans nos cœurs.

\!/ Fin du flashback \!/

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