La maîtresse de l'eau

Chapitre 8

Salut salut mes petites cacahuètes a la chantilly!!!

D'accord oui, je sais, j'aurais du poster le chapitre il y a une semaine, mais j'ai mes raisons. Pour tout vous dire, mes parents ont décidé a la derrière minute de partir en camping. Donc j'es été absente et sans Wi-Fi pendant tout le week-end.

Ensuite, avec ma chance légendaire, mon ordi a bogué durant 3 jours entiers. Quand mon père la réparé, la moitié du chapitre a disparu et j'ai du tout recommencer depuis le début, Et j'ai fini aujourd'hui.

Donc, n'allez pas croire que je n'ai pas travaillé ou que je vous est menti. Désoler pour les fautes, je n'es pas eu le temps de corriger car je voulais le poster le plus tôt possible.

Donc, je vous souhaite une bonne lecture et a un prochain chapitre.

............................................................................................................................

On m'a toujours dit qu'en cas de situation d'urgence, il fallait toujours garder son calme. Que si nous cédions a la panique, nous ne ferions qu'aggraver la situation. Et j'y est toujours crus. Dans ma vie, je dois avouer que je n'est jamais été en danger. Je n'est donc jamais ressentis se besoin de fuir un danger ou de me protéger. Je n'est jamais été victime d'intimidation ou d'harcèlement a l'école.Même lors des pratiques d'évacuation a l'école, je ne fesais que suivre le groupe en gardant mon calme, puisque je savais que ce n'était pas un vrai feu.

Mais aujourd'hui, je commence a remettre en question cet leçon de vie que l'on nous a donné. Après 2 agressions non expliqué, je commence a perdre mon calme. Vraiment, je crois que pour une fois, je vais me laisser faire et attendre que les deux malades me captures et qu'on en finisse avec toute cette histoire. Je ne compte plus sur James ni sur un quelconque sauveur qui me protégera.

Je me retourne alors vers eux et lève la tête pour leurs montrer que je n'est pas peur d'eux, même si intérieurement, je capote comme une poule sans tête. Si je devais me faire prendre, je le ferais la tête haute et avec dignité.

- Ah... Alors la petite conne ici même n'a pas peur, hein? dit le premier d'une voix hautaine.

Quoi ???Comment venait-il de m'appeler???

- Tu a raison Méfisto, la garce n'a pas l'aire de comprendre a qui elle a a faire. Sais-tu seulement qui nous sommes pauvre cloche ? continue le deuxième.

Mais vraiment, quel culot de m'insulter de cette manière. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis prise d'une rage soudaine. Je sens les battements de mon cœur accélérer au fur et a mesure que ces deux idiots continuent a me lancer leurs piques. Une colère sourde s'empare de moi.

Finalement, je ne suis plus aussi convaincu de me laisser attraper, au contraire. J'ai presque envie de riposter, de leurs faire avaler leurs langues et leur trancher la tête. Des pensés sordides commencent a déferler dans mon esprits.

Non, il n'en et pas question. Je ne me laisserais pas avoir par des psychopathes qui me veulent du mal. Jamais je ne les laisseraient me faire du mal. Je n'ai jamais été du genre violente, mais si je dois en arriver au points, je ne me gènerais pas.

- Allez-vous en!!! je cris.

Il me regardent, puis se lance un regard et  ils éclatent de rire. Je ne comprend pas trop la raison de se fou rire inattendu. Aurais-je dis quelque chose de drôle sans le faire exprès?

- Ohh... Vraiment, elle est trop drôle. Elle crois vraiment qu'elle va s'en sortir!

Je commence sérieusement a m'énerver.