chapitre quatre.

42 4 2
                                    

Plusieurs minutes plus tard, le bibliothécaire revient.

-C'est un vieux livre, prenez en grand soin s'il vous plaît. Ramenez le moi quand vous aurez toutes les réponses à vos questions.

-Merci Hatacki !

-Merci monsieur.

Je sors accompagnée de Brieg, et nous retrouvons ma suite.

-Je te laisse, je dois aller voir quelques apprentis hatarmes.

-C'est quoi des hatarmes?

-Ce sont des sorciers. Tu sais que tu as de la magie en toi?

-Mais oui, je vais te croire petit.

-Mais c'est vrai ! Je te conseille d'aller voir tes parents et de leur demander de t'entraîner. Parce que tu vas en avoir besoin.

-D'accord, merci ! On se voit à 13 heures pour le repas.

-On ne dit pas 13 heures chez nous.. lis le livre, et renseigne toi.

Désolée d'avoir été terrienne pendant 16 ans monsieur ! Il sort de chez moi, et j'ouvre le livre plein de poussière. Je tousse pendant une bonne minute, et commence à le lire.

"Bonjour à tous mes descendants. Je suis Erast Adamistamach, le premier souverain d'Astam et le plus grand hatarme de tous les temps. J'ai inventé un moyen de transport pour aller jusqu'à la planète jumelle d'Etamonde, la Terre.
Une capsule invisible se fera jeter d'Etamonde et attendra un asti (an) l'arrivée de la Terre. Dès que les Etamondiens qui veulent venir sur notre planète lanceront trois fois une pierre rouge sur un cercle de fleurs, ils se retrouveront dans un tourbillon de lumière qui les fera entrer dans la capsule. Ils recevront, dès leur arrivée dans cette dernière, un produit qui les endormira pendant un asti. Grâce à un sort, ils seront nourris, et ne pourrons donc pas mourir. Les Terriens ne sont jamais allés voir s'il y a des planètes de l'autre côté du Soleil, c'est donc pourquoi nous n'avons jamais été découverts."

Wow, c'est tout pour aujourd'hui.
Je décide d'aller me changer pour être plus présentable. Je vais passer voir mes parents avant le repas, pour leur demander quelque chose.

Je mets une robe d'été verte clair, et enfile de simples sandales.
Je pars au milieu de la horde de Vertumes qui sont chargés de ma sécurité.
La suite de mes parents n'est pas loin, mais je peux quand même admirer les murs de ce grand palais. Ils sont ornés de peinture, couleurs blanche et or, et de tableaux de paysages et de portait. Il y a des morceaux de tissus, représentant un animal, qui sont accrochés au plafond.
On dirait un cheval ailé, un pégase.
Les gardes s'arrêtent, et je demande à la porte de m'ouvrir. Une vingtaine de secondes, elle disparaît et j'entre dans la suite.

-Chérie ! Comment vas-tu? me demande ma mère.

-Ça va très bien, et toi?

-Oui ! Que veux-tu savoir?

-Eh bien je voulais vous demander à toi et papa, comment vous faites ici pour vous contacter? En gros c'est quoi vos téléphones ici?

ETAMONDEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant