Textes D'une Adolescente Perdue

La solitude de cette jeune fille

Cette nuit là, elle sû que sa vie était foutu. Elle décida donc, de prendre les medicaments qu'elle avait. Calment, anti douleurs, anti depresseur. Tout y passait. Elle en pris une dixaine, une vingtaine, une trentaine. Tout ce qu'elle voulait c'était de ne plus vivre dans ce monde de fou, elle ne le supportait plus. Elle se sentait si seule, mais d'un côté c'etait vrai. Elle n'avait personne, même pas de famille, tout le monde étaient décédés. Puis aucun amis, c'était pas le genre de filles à être appréciée à cause de sa timidité. Elle ne sortait plus, restait dans le noir, ne mangeant plus rien. La douleur la bouffait littéralement, elle était aussi lourde qu'une plume. Pour elle, sa vie ne signifiait plus rien puisqu'elle ne pouvait s'accrocher à personne. Après avoir pris cette dose de médicaments, elle se senti étrangement bien, comme si elle était sur une autre planète. Elle trouvait les choses autours d'elle jolie, elle rigolait sans aucune raison apparente. Sûrement les effets de ce j'ai pris, ce dit elle. Au bout de quelque minutes, elle perdit connaissance, dans sa chambre, seule, avec sa musique et en souriant.
Malheureusement, elle se réveilla, regarda autours d'elle, et commença à paniquer en voyant des tubes autours d'elle et les murs blanc. C'est à ce moment qu'elle réalisa qu'elle était à l'hôpital et qu'elle avait échoué la seule chose qu'elle voulait. Puis elle se demanda qui l'avait amené ici. Elle reflechis un moment, puis se rappela que sa voisine passait tout les jours pour le courrier. Elle senti de la colère monter contre la vieille dame. Pris d'un coup d'énervement, elle arracha tout les fils qu'elle avait, se leva difficilement du lit, et partit. Après être sorti de cet hôpital, elle s'assit sur un banc, regardant les voitures passer. Ce sentant si minable de ne pas avoir réussi avec les médicaments, elle pensa à ces voitures. Elle se leva, pris du courage, marcha jusqu'au trottoir, et traversa la route. Une voiture la percuta, ce qui aura été fatal pour elle.
Elle avait enfin réussi, elle était partit pour de bon, pour de vrai. De là où elle était, elle pû retrouver sa famille, qui eux aussi étaient partis de diverses manières. A partir de ce moment là, elle n'était plus seule, elle était heureuse.