Coucou tous le monde, je pense que ce chapitre va être la fin de l'histoire, puisuqe demain, c'est la reprise (malheureusement) et je n'aurais pas forcément le temps d'écrire, merci pour vos lectures :)
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Qu'est ce que je vais faire? Qu'est ce que je vais devenir? Désormais je ne tient plus à la vie, je ne tiens à plus rien, plus personne, même mes parents ne me soutiennent plus, je suis au bord du gouffre.
J'ai supporté cet acharnement quotidien pendant 3 mois, 3 mois de souffrance pur et dur, le peu de fois où j'essayais d'en parler, on me prenait pour une folle, on allait même jusqu'à me mettre des heures de colles, parce que soit disant que je racontais "des âneries" et que je faisais ça pour me faire "remarquer" comme je suis à longueur de temps "toute seule". Ces mots me raisonnait dans la tête, chaque seconde, chaque minute, chaque heure, chaque jour, chaque semaine, chaque mois.
Puis un jour, un samedi, on était en week end, je tentais de me concentrer sur mes devoirs, même si j'avais beaucoup de difficultés. Une idée me passait par la tête, je vais écrire une lettre à mes parents pour qu'enfin ils comprennent mes souffrances.
Je commençais:
"Chers parents,
Vous m'avez désiré, vous m'avez eu. J'ai passé une enfance plutôt heureuse entouré de toute la famille qui me cajolait, qui m'admirait, enfin qui me chouchoutait. À l'école maternelle, c'est pareil, j'avais ma meilleure amie, je vivais dans l'ignorance, la seule chose qui me préoccupait, c'était de choisir ave quelle couleur je ferait mon dessin.
Passé de l'autre côté de l'école, c'est à dire chez les primaires, les ennuis commençait, on m'enquiquinait comme on pouvait en m'enfermant dans les toilettes et me collant des chewings gums dans les cheveux, toutes ces choses qui me pourrissaient ma scolarité et mon enfance.
En sachant que je rentrait au collège je pensait être soulagé et tranquille.
Non c'est raté.
Tout continuait et s'accentuait, ce n'était plus des actes de gamins de primaires, mais des actes de personnes qui sont censés devenir matures, mais qui sont aussi bêtes que leurs pieds. Ça continuait, encore, toujours, tous les jours. Et je devait tout supporter en me taisant et en laissant faire ces imbéciles. Vous ne vous en êtes malheureusement pas rendus compte, et maintenant c'est trop tard.
Vous irez voir, les profs et les personnes concernées, dites leurs qu'ils auraient dû m'écouter. Sachez en tout les cas que je vous aimes fort, même si vous n'avez pas réussi à voir certaines choses. Je vous aimes et je vous aimerez toujours."
J'avais plié cette lettre, l'avait glissé dans une enveloppe et posé sur mon bureau.
Je me dirigeait vers la salle de bain, prenait plusieurs boîtes de médicaments, et allait chercher un couteau, je me suis effondrait par terre en larme, prenait les médicaments, je ne savait combien il y en avait. 15? 20? 25? 30? 40?
Je ne sais pas, je ne sais plus.
Après les avoir avalés et avec la force qui me restait, je m'ouvrit les veines, je savait que ma mort serait instantané.
Désormais je n'embeterais plus personne, je ne serait plus le boulet à supporter tous les jours.
Je me sentait partir dans ce monde merveilleux où je pense que là bas je serais en paix. C'était mon dernier souffle.
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En rentrant du travail je cherchait ma fille, je m'egosillait mais sans réponse. Je m'inquiétais, je suis alors montait là haut droit dans sa chambre. Personne. Le vide.
C'est alors que je trouvais cette lettre, je l'ouvrait et la lisait. Je suis sous le choc. Mais où est elle passait? Je continuais à crier, toujours sans réponse. J'allais vers la salle de bain. La porte est fermé à clé.
Comment faire?
Avec la rage que j'avais, je taper, je crier, et à la fin je réussi à ouvrir la porte.
Je me suis effondré.
Mon petit bébé était par terre, gisant sur le sol, dans une marre de sang.
Ma tristesse était énorme et indescriptible. Quels sont ces ordures qui ont tués ma fille à petit feu, en la faisant mettre fin à ses jours? Seul elle le sait.
Désormais elle est parti. Je n'ai même pas appelé les pompiers aussitôt je savait que c'était fini. J'ai eu juste la force d'appeler mon mari et de lui dire "Elle est morte" tout en sanglotant.
Il était venu me rejoindre, ne comprenant pas. Il à vite compris en me voyant assise dans le canapé en pleurs, avec le doudou préféré de ma fille.
Il s'est effondré à son tour. C'était terrible. Il à lu la lettre. La rage prenait le dessus. Mais il se mis vite à pleurer. Notre fille est morte. Chaque mot de la lettre raisonnait dans ma tête. Je m'en voulait.
Depuis ce jour nous allions chaque jour sur sa tombe, la fleurir et lui parler. Nous étions encore dans l'incompréhension. Le collège était au courant, mais ils ce sont contentés de nous dire un simple "Toutes nos condoléances", j'ai vite compris que notre fille n'a jamais était accepté, et que ce collège était de belles ordures.
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Voilà petite histoire terminé! Merci d'avoir lu! Et à bientôt j'espère ♡
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Un jour
Historia CortaLa vie est parfaite lorsque l'on est encore dans le ventre de notre mère, le jour ou on même le pied sur Terre les ennuis commencent..