Fragment 4:

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Il disparaît chaque matin et laisse un vide en moi. Je bondis sur mes jambes. Chaque matin, il me laisse avec cet odeur fruité dans ma chambre vide. Le soleil brillant, autant que ces iris le soir, me caresse la peau. La chaleur m'enlace, comme ses bras le soir. Sentiment ? Non ce n'est pas mon droit. Ce soir encore, je sors. Ce soir encore, je rentrerai couverte de sang. M'enlaceras-tu encore alors ? Peux-tu m'accepter malgré ma nature malsaine ?  

Nuit éternelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant