Fragment 6 :

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La mort marque au fer blanc. Combien en ai-je marqué déjà ? Toi créature qui habite mes nuits, les as-tu comptés ? Je ne suis personne pour décider de prendre la vie ou de la laisser. Mais c'est ma nature de détruire. Ce cœur impur peut-il aimer ? Existe-t-il un bandage assez long pour soigner la douleur que j'ai infligé. Une drogue assez forte pour me faire oublier le sang versé ? « Amour »

Encore ce soir, je sortirai. Je chasserai la proie, je suivrai mon odora. Je n'irai pas vers cette odeur de soufre, je n'irai pas vers cet odeur de fruit, je ne choisirai pas d'aller vers toi. Je prendrai le chemin inverse, j'irai vers cette odeur de ténèbres et d'acier.  

Nuit éternelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant