CHAPITRE 36

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\!/ IL Y AURA DU LEMON \!/

Point de vue Louis

J'ai attendu trente minutes et il n'est toujours pas venu. Je ne sais pas ce qu'il m'a prit de l'appeler, et de l'exciter autant. Je ne sais pas ce qui m'a prit de le chercher comme ça. Mais tout ce que j'ai en tête, c'est le voir. Le voir à nouveau, et nous retrouver comme deux amants en détresse.

Mon érection me fait horriblement mal. J'essaie de me soulager en me branlant un peu, mais ça fait peu effet. Je crois que j'ai besoin d'Harry. Sexuellement parlant.

La porte d'entrée résonne plusieurs coups de poings. Je suis complètement nu et je transpire tellement ma tension sexuelle évolue.

À peine je tire la porte qu'un grand corps d'homme se jète sur moi en m'embrassant passionnément. Pris de surprise, je n'arrive pas à lever mes paupières. Lorsque je dépose mes mains sur ce torse brûlant, je reconnais les muscles d'Harry.

Bordel, qu'est-ce que ça m'a manqué. Ce goût de fraise, sa langue valsante avec la mienne dans un échange de salive langoureux, ses lèvres aussi douces qu'une peau de bébé, enlaçant lentement les miennes, son nez caressant le creux de ma joue, ses mains se baladant d'un geste visqueux sur mon torse ; tout m'avait manqué.

Je lève mes paupières pendant qu'il arrête de m'embrasser. Nos yeux restent dans ce contact visuel intenable. La lueur verte de ses pupilles voulait tout dire. Il ne quittait pas mes lagons bleus de son regard alors qu'il pouvait jouer avec mon corps..

J'étais souvent passif lorsque nous faisions l'amour. Mais, est-ce que nous allions faire l'amour ou est-ce par pur envie sexuelle, comme en deux-miles-seize?

Je n'ai pas le temps de réfléchir à ma question qu'il se déshabille entièrement et rapidement, même si les gestes que pratiquent ses mains sont terriblement sensuels. Je baisse mon regard vers son caleçon, là où repose une merveilleuse bosse, énorme comme la dernière fois.

"Harry- dépêche toi." j'étouffe.

Il me lance un regard inquiet puis m'embrasse à nouveau passionnément. Je n'ai jamais ressenti un tel plaisir auparavant, même pas lorsque nous faisions l'amour ou même pas avec une fille quelconque. C'était un sentiment étrange que je ne saurai décrire.

"Je vais te prendre là, sur ton putain de canapé. Et tu vas regretter de m'avoir chauffé." il lance d'une voix rauque.

Je voulais le contredire, et rappeler que c'est lui qui m'avait chauffé, mais je laisse faire. Je ne peux plus attendre. Je veux lui faire plaisir.

Je me baisse alors au niveau de ses genoux, et baisse, d'un geste rapide, son caleçon. A la vue de la grandeur de sa bite, je ne peux pas m'empêcher d'étouffer un cri avant de le prendre en main. Je commence à faire de lents vas-et-viens alors qu'il commence déjà à grogner.

Je lève la tête pour voir sa réaction. "Que veux-tu que je fasse, Hazz?"

Je continue les lents et rapides gestes de ma main, du haut vers le bas, pendant que le bouclé serre des dents.

"Put- putain Louis, je-"

"Tu veux quoi? Dis le."

"Suce moi!"

Je n'attends pas plus longtemps pour déposer mes lèvres sur le bout de son pénis. Il râle fort pendant que je le lèche. Putain, j'avais tellement besoin de ça.

Harry dépose gentiment ses mains sur ma tête et finis par arracher mes cheveux pour que j'en fonce entièrement sa bite dans ma bouche. Chose demandée, chose faite. Je vais plus profond, le gland touchant presque le haut de ma gorge. Sa bite est beaucoup trop grosse et j'ai l'impression d'étouffer. Je me demande même si elle n'a pas grossie, mais, encore une fois, je n'ai vraiment pas le temps de réfléchir qu'il me fait faire des mouvements puissants et rapides sur sa bite.

IT'S ME | LARRY (SMS)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant