Partis dix

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Partis dix.


Le soir, 20h00.


On est dans la salle de fête depuisplusieurs heures, l'ambiance est a son comble, tout le monde danse etrigole. La plus part des hommes sont dehors, je pense qu'il fume ouquoi. En tous cas je vois Youssef que lors des repas, à dire vrai ilest a notre table avec Yassine, Naima et Nihal.


Khelti et ma mère sont a une table àcôté avec d'autre yemma, dont celle de Youssef.


Naima – Sa vous dit d'aller danserles filles ?

Nihâl et moi – Go !


On se dirige vers la piste, ons'enjailler sur des chanson rebeu, rien que on rigoler. Je sentais unregard sur moi, je me retourne et vois Youssef me fixé, regard noir.Je ne prend pas le regard pour moi.


Moi – Nihâl je crois ton frère ilest pas ok pour tu danse.

Nihâl – Pourquoi tu dit ça ?

Moi – Retourne toi.


Elle se retourne, je me retourne avecelle mais Youssef avait tourner le regard.


Nihâl – Bah non regarde il mecalcule même pas.


Je ne répondit pas et partis me poséa notre table, sah je commençais grave a fatiguée. Je partis doncen direction de la table de ma mère.


Moi – Mama je commence a fatiguée.

Mama – A wili ! Mais moi j'aipas le permis !

Khelti – Va demander a Yassine.

Moi – D'accord.


Je leur fait a chacune un bisous etleur souhaite une bonne nuit. Je me dirige ensuite vers Yassine.


Yassine – Smehen rentre ! C'estpas une place pour les filles ici.

Moi – Je sais, mais je suisfatiguée..


Il rigole.


Yassine – Putain une galèrecelle-la, j'ai pas envie de nashav tu soul !

Youssef – Tu veux que j'y aille kho ?

Yassine – Hum, sa te gêne pas ?

Youssef – Tekass, façon j'ai deuxtrois truc a faire.

Yassine – Ok, fait gaffe à elle.


Ils se tchek, Youssef se dirige vers savoiture je le suis donc. Je vais pas mentir j'étais contente qu'ilme raccompagne, me demandait pas pourquoi moi-même je sais pas mddr.


Je monte dans sa voiture et m'installe.


Youssef – T'as bien danser ?

Moi – Euh bah ouais normal quoi.

Youssef – Ok.


Il allume la radio, en gros pour pasque je parle je pense ou alors il voulait pas parler, je sais pas.


Arriver à la cité il s'arrête enface de mon bâtiment.


You – Salam.

Moi – Salam.


Je descend de la voiture, je sais passe qui lui prend, d'habitude il parle toujours un peu et la wellou..


« Smehen – Célèbre, pourtantpersonne n'est à mes pieds. »

« Smehen - Célèbre, pourtant personne n'est à mes pieds. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant