Partis treize

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Partis treize.


J'arrive a sortir incognito dubâtiment, le rythme de mon cœur ne cessé d'augmenter de peurd'être attraper par le grand méchant Yassine.. ptdr.


Je souffle un grand coup et m'avancevers Youssef, en arrivant a sa hauteur il monte la tête pour meregardait et quand il me voit il re baisse la tête immédiatement.


Moi – Je peut m'asseoir.

You – Fait ta ive. (vie)


Je m'assoie donc a côté de monsieurboudeur, un long silence commençait a s'installer.


Moi – Parle, non ?

You – Pour dire quoi ?

Moi – Je sais pas..

You – Bah voilà.


Il était froid et distant, j'avaisl'impression d'avoir perdu le Youssef d'avant. En même temps vue moncomportement il y a quelques heures avant je le comprend.


Je ne cherche pas a plus à discuter.Je me lève du banc mais il me retient le bras, je me retourne verslui.


Moi – Qu'est-ce qu'il y a ?

You – Sah ( sérieux ) je sais pas.

Moi – Laisse moi partir.


Il me lâche et je décide de rentrer,cette-fois ci je passe par l'arrière du bâtiment et monte chezkhelti, en arrivant je retire mes chaussures et pars dans la chambrede Naima qui me faisait les gros yeux genre « Bah racontet'attends quoi ? ». Je souris et m'assoie sur le lit.


Naima – Alors ?

Moi – Il y a rien a dire.

Naima – Comment ça rien ?Explique.


Je lui explique.


Naima – Chelou ce gars.

Moi – Ouais comme tu dis.


Après ça, je décide donc dem'endormir sans savoir se que demain me réserve.


3 semaines plus tard, mercredi, 15h50.


J'avance un peu dans la chronique pourne pas rester buter sur trop de chose inutile. On était doncmercredi et j'avais promis a Naima de venir la chercher a son lycéepour 17h.


Je me décide donc de me préparer,slim, baskets, débardeur, veste et chignon. Khelti me donne commemission d'aller chercher du pain, pas trop compliquer ça va.


Je me dirige donc avec difficulté versson lycée, j'ai du me perdre un bon nombre de fois, et c'est surtouta une gentille dame que j'ai réussis a retrouver mon chemin.


En arrivant devant se qui me semble lelycée, enfin si je le rate c'est que je suis aveugle puisqu'il y aune pancarte écrit « Lycée de blablabla », je me metcontre une barrière et j'écoute de la musique quand je sens unemain se poser sur mon épaule, Youssef. Alors oui, entre tempsmonsieur a arrêté de bouder, d'ailleurs je ne sais toujours paspourquoi il faisait « la gueule »


You – Bien ?

Moi – Oui et toi ?

You – Tranquille, t'attends Naima ?

Moi – Oui, et toi tu fait quoi ici ?

You – Nihâl.


J'acquisse de la tête, on parle unpeu de la vie de la cité puis je vois Naima arriver, suivis dequelques mètres par Nihâl, tout le monde se dit bonjour et Youssefrentre de son côté avec sa sœur.


Avec Naima on rentre de notre côtéaussi, elle me raconte sa journée de galère. En arrivant a la citéje la préviens qu'il faut aller prendre du pain donc on se dirigevers la boulangerie. Sur le chemin on croise Nadheer ( souvenez vous,c'est le gars du mariage, le yemenite ), arriver a sa hauteur on lesalam, il avait le visage creuser par la fatigue et des yeux rouge..


« Smehen - Célèbre, pourtantpersonne n'est à mes pieds. »

« Smehen - Célèbre, pourtant personne n'est à mes pieds. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant