Chapitre 17

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Lauren :

Il est 22h30, je suis au parc. J'ai décidé de prendre l'air pour arrêter de stresser seule dans ma chambre. Ma famille n'est pas chez moi jusqu'à après demain, je ne voulais pas rester enfermer.

Je n'arrête pas de penser à Camz, j'ai peur pour elle. J'ai peur que sa tourne mal. Je m'en veut tellement vous imaginez même pas à quel point je m'en veut. Si j'aurais était la, rien de cela serait arriver. Je l'aurais aider,soutenu mais ce n'est pas arrivais.

Il n'y a presque plus personne au parc, à part un couple de filles sur un banc et un homme qui donne à manger au canard. J'envie ce couple, elles ont l'air heureuse.. Je ne dit pas qu'elles ont aucun problèmes, elles doivent en avoir comme tous le mondes, mais elles ont l'air épanouie. J'aimerais tellement être à leurs place avec Camila. L'embrasser, la câliner la complimentée. Que l'on se chamaille, lui montrer tout l'amour que je ressens pour elle, mais cela est impossible, elle ne veut pas se mettre en couple avec moi ou du moins pas pour le moment. Elle ne veut pas me faire du mal comme elle me la assez dit. Moi je m'en fous, je veut juste être avec elle, pouvoir la rassurer comme une petite amie ferait.

Je mis mes écouteurs et je me mis à courir un peu, j'ai besoin de me défouler.

***
Je décida de m'étirer sur un banc lorsque je sentis une main sur ma bouche. Cette personne me tenait fermement. C'est les mains d'un homme. Je me débater mais rien n'y fesais. J'essaya de crier mais seul un son inaudible sortait de ma bouche. Il n'y avait plus personne au parc, personne pour m'aider. L'homme m'emmena dans une jeep noir avec des vitre tentée. Il me poussa à l'arrière en m'attachant les mains puis il s'asseya devant le volant et il démarra. Il roula assez vite. Un quart d'heure environ plus tard, la voiture s'arrêta. Il descendit de la voiture et il me prit par les bras et il m'obligea à descendre. On se dirigea vers un bâtiment abandonné à côté d'un moulin. On rentra à l'intérieur et il m'enferma dans une pièce sombre.

Je commençais à comprendre ce qui m'arriver. Sa c'est tellement passer vite que je n'arriver pas à croire que je me fesais enlever.

La porte de la salle s'ouvrit sur un homme en costume noir. Des bague orner ses doigt. Je leva la tête et la je le reconnue. C'est l'homme pour qui Camz travaille. Il ferma la porte derrière lui. Étant écroulée par terre, je recula le plus loin possible heurtant un mur. Il s'avança vers moi et il me leva brusquement par les bras. Il m'emmena contre un mur et il commença à m'attacher les jambes. Je me mis à me débatte mais l'homme sortit un flingue et il le posa sur ma tempe.

- Laisse toi faire, sinon je n'hésitera pas à tirer. Compris ?

J'hocha la tête. Il me regarda avec un sourire pervers. Il se baissa et il retira mon leggings et il le jeta dans la pièce puis il m'attacha les jambes légèrement écartées. Je sentis des larmes qui aller à un moment où un autre dévaler sur mes joues. Il me détacha mes poignets et il m'enleva mon tee shirt.

- Jolie sous-vêtements noir à dentelle.. Sa donne envie.. Je comprend pourquoi Camila te protége.

Je lui cracha au visage. Il s'énerva et il repointa son flingue devant moi.

- Tu ose encore faire ce genre de chose je tire !

Il m'attacha violemment les bras écartée. Il me regarda toujours avec ce sourire pervers. Il me regarda de haut en bas.

- Tu a des jolies formes en plus, des seins attirant, un putain de cul, de belle hanche. Et des jolies yeux. Je la comprend tu sais,une jolie jeune femme comme toi ne devrait pas être en danger..

Des larmes coulée le long de mes joues.

- Qu'est ce que vous me voulez ?

- Tu sais je ne le veut pas vraiment mais je suis obliger.. Tu est au courant de ce que je fais.. Tu est un danger.

- Je ne dirais rien.

- J'aimerais te croire mais je ne veut pas prendre de risque.

Il me regarda encore puis il s'écarta de moi.

Laisse Moi T'aiderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant