♡ CHAPITRE 13 ♡

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aujourd'hui c'est toi, demain ça sera moi..

Je m'allonge alors sur le lit pour me reposer un peu.

Oumar : alors Sidath, ton beau frère t'a grave démonté.

Moi : beau frère ? Dis-je en me levant.

Oumar : tu sais pas encore ? Oho j'ai gaffé.

Moi : Sidath ? Expliques moi !

Sidath : je sors avec Aissatou.

Moi : Quoi ?

☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆

Il plisse les yeux et vient se placer près de moi. Je me lève aussitôt du lit.

Moi : depuis quand ?

Lui : hier.

Il faut que je mette fin à cette relation le plutôt possible. Je m'empresse sur lui et je le plaque sur le lit. J'avais mon bras autour de son cou et le reste de mon corps sur le sien.

Moi : écoutes moi très bien, tu vas mettre fin à cette putain de relation. Je sais très bien qui tu es, toutes les putes que mes potes se tapent c'est toi qui les amène.

il essayait tant bien que mal de se defendre mais j'avais le contrôle sur lui.

Lui : att..end.

moi :  Tu crois que je vais te laisser avec ma soeur pour que tu fasses d'elle une pute ?

Oumar : mec ! Tu vas le tuer, il ne respire plus.

Oumar et Cheikh me séparent de lui. Je me relève super énervé et rassemble mes affaires m'appretant à m'en aller.

Lui : frère, je te jure que j'aime ta soeur. Je ne lui ferai pas de mal.

Je lance mon sac par terre pour aller lui refaire la figure, ce sont les mecs qui me bloquent le chemin.

Moi : ma soeur ? Tu ne la touche plus. Oublies la !

Je ramasse mon sac et dégage de cette maison.

Dans la peau de Aissatou

Je bouge dans le bureau de Assad. Je frappe d'abord à la porte.

Lui : C'est qui?

Moi : moi -en ouvrant la porte-

Lui : haa !

Moi : tu vas bien?

Lui : oui !

Moi : alors, je m' ..

Lui : cependant j'ai trop de travail, et j'ai besoin d'être seul. Me coupa t-il en se reconcentra sur les feuilles devant lui.

Est-ce une manière de parler aux gens ? En plus pourquoi me parle t-il mal ? C'est lui même qui m'a appelé il y a même pas 2 heures pour me demander de me deposer non?
Ça y est il m'a énervé, j'aime pas les gens bipolaires.

Je sors de son bureau en claquant bien la porte. Je me dirige directement à la caisse. En plus, il y'avait beaucoup de monde au restaurant, pff !

Sadikh : du café ?

Moi : merci. - en prenant la tasse -
Lui : ça va ?

Moi : oui.

Lui : sûr ?

Moi : oui.

Lui : c'est qui ce mec qui t'a déposé ?

Moi : mon copain.

Une Vie Presque Imparfaite ( réecriture )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant