Partie 2 : „Voyage"

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J'avais enfin terminé de préparer mes affaires pour partir que quelqu'un frappa à la porte : «Sensei? Sensei!». C'était mon Kohai qui venait me dire bonne chance et me souhaiter bon voyage. C'est un peu comme un membre de la famille, c'est le seul que j'aimais bien. Je me suis toujours plein d'avoir un coeur de pierre, car quand mes parents ont quittés la vie, je n'ai eu aucunes émotions, comme si je n'étais pas humaine. Je me sens vide, c'est ce Kohai qui rempli ce vide. Il est le contraire de ma personnalité, il est très humain. À la différence de moi, quand son père est partit, il a pleuré toutes les larmes de son corps, mais peu à peu, cela est devenu une force, il a dû faire 3 expéditions sans mourir à seulement seize années. Il nourrit sa mère et sa soeur avec l'argent qu'il gagne de la part de l'Entreprise Nationale. J'ai passé un moment avec lui, j'ai eu mon premier fou rire. Je lui est avoué à lui seul que cette expédition allait sûrement me tuer. Une larme coula de ses yeux oranges. Et moi, ma première larme qui pour moi semblait historique alors que ce n'était que de l'eau aux yeux des autres hommes.

***

Il était enfin l'heure pour le voyage. J'eu l'adieu de ma tante, de mes coéquipiers et de mon Kohai. Je pris le train pendant quatre heure à peut prêt. Au bout de la troisième heure, je sentis une peurs, mais une peurs étrange et inexpliquée. Je tremblais des mains. Les larmes dégoulinaient sur mes joues, c'était perturbant que les autres me voient. Je me calma puis pris une serviette pour essuyer ces larmes. La débilité s'empara de moi et je senti la serviettes pour voir si les larmes avaient une odeur. Rien... C'est vide de sens. Très bien. Je rangea la serviettes dans une enveloppe.

"Un contraire, un fou rire, une larme, un voyage, une peur inexpliquée, serviette et enveloppe"

Strength (en repréparation)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant