Il était une fois, une petite fille qui taillait des petites poupée de bois avec sa mère. Cette petite vivait seul avec sa mère depuis que son père était partie faire la tourné des bars après ne jamais être revenue. Sa mère gérait une modeste boutique de poupées de bois, la jeune fille admirait ces poupées articulé qui n'avaient pas l'impression d'être touché par le temps, toujours aussi belle malgré les années qui passe. La petite tailleuse ne jouait jamais avec les enfants du village, elle ne parlait et ne s'approchait pas d'eux, trop timide pour jouer avec eux. Elle préférait la compagnie de ses poupées de bois qui au moins eux ne la jugerait pas et ne la blesserait pas.
Sa mère inquiète par l'obsession presque malsaine de sa fille pour les poupées, l'obligea à sortir jouer avec les enfants. La petite se retrouva dehors seul, les gamins jouaient au ballon dans la cour en face de la boutique. La malheureuse regarda sa mère à travers la vitrine en la suppliant du regard, la jeune femme lui fit un doux sourire en mimant avec ses lèvre à travers la vitrine « aller » . Pour faire plaisir à sa mère la gentille petite se dirigea avec un pas mal assuré vers ses camarades et satisfaite la mère repartit à son ouvrage. La peur au ventre la fillette demanda timidement « Je..je peux jouer avec vous... » mais les enfants à cette ages sont cruel entre eux alors elle se fit rejeter avec violence par les autres qui lui crachèrent « Dégage la folle aux poupée, on veut pas de toi ici ! » donc la pauvre partit la tête baissé et les larmes au yeux sous le regard moqueur des autres enfants. La petite voulut rentrer mais pour ne pas faire de peine à sa mère elle resta dehors et se promena le long de la rivière un peut plus loin du village. Fatiguer, de toute ses émotions la fillette s'assoit les jambes replié sur son torse pour avoir moins froid, ses journées d'automne n'en finissait pas, l'enfant contempla le paysage devant elle et pensa à ses poupées qui ne souffre pas et qui reste toujours jolie, la pauvre voudrait tellement être une poupée toujours souriante qui ne souffre pas et qui n'a peur de rien ni de personne et puis sa mère serait moins embêter à payer ses dettes avec une bouche en moins à nourrir. Exténuer, la malheureuse s'endormit à même le sol.
En se réveillant, elle se retrouva face à face avec un étrange petite garçon de son age qui la fixait de ses yeux bleue glacier qui troublait la petite fille. Une fois bien réveiller sa timidité la rattrapa et elle s'éloigna du garçon. Le garnement lui fit un sourire chaleureux, lui tend la main et la rassura : "N'ai pas peur, je suis gentil moi." Après une grande hésitation la peureuse pris cette main et se releva. Une fois debout le petit garçon se mit à courir se qui força la fillette à le suivre. Le petit s'arrêta devant deux balançoires et chacun pris place sur les deux sièges. Le petit bonhomme commença à se balancer en riant à gorge déployer. La gamine regarda le garçon s'amuser et baissa la tête honteuse de ne pouvoir faire comme lui. Le garçonnet vit que sa nouvelle ami était triste et il lui demanda ce qui n'allait pas, la fillette lui répondit honteusement : « Je ne sais pas faire de la balançoire... » le filou à l'entente de cette malheureuse nouvelle lui fit un grand sourire et il commença à pousser la balançoire de la jeune fille qui commença à rigoler d'un rire cristallin. Heureux de pouvoir faire rire son amie le gentil petit bonhomme rigola avec elle. Une fois le soir tomber ils se dirent tout les deux au revoir et repartirent chacun de leur côté épuisé mais heureux. La petite rentra et raconta tout à sa mère sauf le passage où elle s'était fait rejeter par les enfants du village par peur d'attrister sa mère. La jeune femme heureuse de voir sa fille joyeuse lui prépara son plat préférer. La fillette s'endormit le sourire au lèvre, le cœur léger et le ventre plein.
Les semaines passèrent et les deux enfants étaient devenus de grand amis. Un Jour, la gamine prit une de ses poupée préférer pour la montrer à son ami et elle sortit. Sur la route elle rencontra les enfants qui l'avait rejeté le jour où elle avait rencontré son camarade de jeu, la peureuse baissa la tête et pressa le pas, les tyrans aux sourires carnassier lui balancèrent des pierres en se moquant d'elle et en scandant « La folle aux poupée n'est qu'une dégénérée ! » La malheureuse s'enfuie le plus vite possible en pleurant et en serrant la poupée de toute ses force malgré la douleur à la tête et le sang qui coule de ses plaies. Le garçon voyant son ami aussi misérable se précipita pour l'asseoir et lui demanda ce qu'il s'est passer, après s'être calmé elle lui raconta ce qu'il s'était passé « Il m'ont lancé des pierres sur moi et en plus ils ont rigolé et ont dit que j'étais une folle aux poupée et une dégénérée.. ». La fillette recommença à pleurer pour la réconforter le petit la prit dans ses bras. La petite entre deux reniflements lui confia son plus grand désir :
« Je voudrais être une poupée pour ne plus jamais souffrir et ne plus jamais revoir ceux qui m'ont jeter des pierres!
- Tu voudrais partir avec moi ? et comme sa je te garderais tout près de moi comme sa tu ne souffrira plus jamais ! Lui proposa le garçon
-d'accord je veux bien mais ma maman elle va être triste si je ne suis pas là et je dois l'aider pour la boutique sinon elle aura plus d'argent ! Répondit la malheureuse
- Je vais régler ça ne t'inquiète pas ta maman elle aura plus de problème juré !
Le petit garçon prit la poupée de son amie il regarda sa camarade et lui fit un bisou sur le front. Soudain la petite disparu et la poupée brilla d'une lueur blanche presque aveuglante et le bras de la poupée bougea puis tous ses membres et elle se mit debout. Le garçonnet sourit affectueusement puis pris la petite poupée avec soin dans ses bras se leva et partit avec son amie loin de se village qui a tant fait souffrir la petite tailleuse de poupée.
Après avoir fini sa nouvelle poupée la mère vit qu'il était très tard et que sa fille n'était toujours pas rentrer elle commença à beaucoup s'inquiéter de l'absence de sa petite chérie et elle décida de partir à sa recherche. Elle vit les enfant du village qui commençait à rentrer chez eux la femme inquiète leur demanda :
« Avez vous vue ma fille, elle n'est pas rentrer ?
- La folle aux poupée, non on l'a pas vue! répondit un des enfants avec une sourire narquois celui qui était à coter lui donna un coup de coude dans les côtes pour lui dire de se taire. »
La jeune femme comprit que sa pauvre petite se faisait persécuter par ses enfants et elle comprit pourquoi sa fille ne voulait pas jouer avec eux. La pauvre femme se sentit honteuse de ne pas l'avoir remarquer plus tôt. Sa fille lui avait parlé de la rivière où elle allait jouer avec son ami mais sa petite puce n'était pas là non plus, la malheureuse chercha toute la nuit sa fille mais en vain. La femme retourna à la maison exténuer et désespérer de la disparition de sa pauvre petite. En rentrant elle aperçut sur la table de la cuisine une lettre et une grosse boîte, elle ouvra la boîte intriguer, c'était remplis de pièces d'or et d'argent la femme n'en croyait pas ses yeux. Elle ouvrit rapidement la lettre et en la lisant elle s'effondra au sol et pleura de désespoir et la pauvre mère comprit qu'elle ne reverrait plus jamais sa fille.
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1001 Contes
Randomc'est un recueil de conte à lire quand on veut une histoire légère et sans prise de tête! Je vous souhaite une bonne lecture!