Les Knockers

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  Il commence à faire nuit et nous sommes toujours dehors dans le froid de l'hiver. Il faut qu'on trouve un abris, on ne pourra pas survivre dehors avec ce froid. Depuis deux heures Paul n'arrêtait pas de geindre en répétant toujours la même phrase :

« Si ça continue je vais geler sur place et je veux une pinte de bière sa serait mon dernier souhait si je doit mourir dans ce troue perdu !

- Arrête de te plaindre, je te rappelle que c'est toi qui a voulu faire ce voyage et pendant les mois les plus rude de l'année, en prétextant que sa nous endurcirait ! »

Je sais qu'a ce moment là il fait la moue et me jette un regard noir mais il sait bien que c'était son idée et pour une fois il ne peut rien répondre à ça. On marche depuis une heure déjà et je commence à m'inquiéter de ne pas voir de lueur au loin qui pourrait sans doute être un village ou une maison qui pourrait nous accueillir mais nous sommes obligés de continuer sinon on meurt. « Nous sommes sauver ! crie Paul Nous sommes sauver ! Je le regarde et fronce les sourcils et lui rétorque

- Il n' y a rien à l'horizon ! Qu'est ce que tu dit comme idiotie encore !

- Regarde à droite avant de me traiter d'idiot! »me répondit Paul avec un sourire narquois sur les lèvres.

Effectivement il y avait bien une lueur au loin soulager de savoir que nous crèverons pas dans la neige je commence à courir vers la lueur et Paul  me suivit.

C'est un hameau plutôt accueillant, il y a un panneau où est écrit le nom du du hameau « Knockirst » et une carte où est entouré la comté de Cornouailles:

C'est un hameau plutôt accueillant, il y a un panneau où est écrit le nom du du hameau « Knockirst » et une carte où est entouré la comté de Cornouailles:

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Paul aperçoit un pub pas loin où s'échappe des cris et des rires et entendant ces bruits si familier pour lui il commence à courir, mon camarade est un vrai ivrogne. Je le suis, une fois rentrer l'odeur de la bière et du tabac m'agresse le nez, les habitants se figent à notre venue et nous scrutent pendant un long moment l'ambiance est de plus en plus lourde jusqu'à que mon compagnon crie avec enthousiasme « Une tourné général pour tout le monde! » et les habitants lèvent leurs pinte et crie de joie, les discussions reprirent comme si rien ne s'était passer. Je commande une pinte de bière, m'assoie et m'allume une cigarette. En même pas dix minutes mon camarade est déjà bourré comme un coin et fait le singe sur les tables pendant que les autres ivrognes rient à gorge déployer devant ce pitre. Un vieille homme s'approche de moi, s'assoit et m'interroge:

« Bonsoir je m'appelle Auguste, d'où venez vous avec votre compagnon mon cher monsieur?

- Bonsoir, je suis Jean et lui là-bas c'est Paul, on vient de Bristol.

-Vous êtes bien loin de chez vous.

- Oui nous avons décider de voyager à travers l'Angleterre avec mon ami, dites est ce que vous connaissez des endroits qu'on pourrait visiter dans les environs ?

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