L'Orpheline

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Je vivais seul dans la forêt près des montagnes depuis mes huit ans déjà, j'avais du m'enfuir de mon village après que le chef est brûlé vive ma mère devant tout les habitants du village et est tuer mon père dans son sommeil. C'est fou ce qu'une simple différence peut faire peur à autant de gens pour qu'ils acceptent de commettre des choses aussi inhumaines ! Ma mère à tout fait pour que personne ne voit mes yeux en sachant bien que les villageois aurait pu me faire du mal. Vous me diriez « Si vous saviez que les habitants du villages aurait put vous faire du mal si ils savaient, pourquoi être rester ? » et bien ce village était notre seul ressource pour manger et boire enfin survivre quoi. C'est après qu'un de mes « ami » est découvert mes yeux qu'il alla tout dire à sa mère et c'est là que le cauchemar commença après avoir vue brûler ma mère sous mes yeux je m' enfuie du village et me réfugia dans la forêt et depuis je vivais comme une ermite dans cette forêt avec pour seul ami un corbeau. Depuis ce jour, les cris de souffrance de ma mère me hante toutes les nuits.


Je me réveilla après avoir passer une courte nuit à dormir. Je sortit de ma modeste cabane en m'étirant et en profitant de la chaleur du soleil sur ma peau, mon ventre gargouilla, j'appelle Merkidion de plusieurs croassement et il répondu à mon appel en se posant sur mon épaule et en croassant. Je pris mon arc et mes flèches et me mis à chercher des baie, ma mère était herboriste donc je n'eus pas de mal à survivre dans la forêt toute seul j'ai dut apprendre à chasser par mes propres moyens. Je trouva un buisson d'Aronie Rouge et remplissais mon sac de baie quand tout à coup Merkidion s'agita et croassa.

Il y avait quelqu'un, je me cacha derrière un arbre et banda mon arc, j'entendis des craquements, quelqu'un marchait tout près je l'aperçus c'était un homme, un vieille homme. Il risquait de découvrir mon campement je ne pouvais pas prendre le risque qu'il découvre mon repère. Je me met devant lui prêt à tirer et lui crie :

« Ne bougez pas sinon je tire!

ma voix était rauque cela faisait longtemps que je n'avais pas rencontré des gens à qui parler. Le vieille homme avait l'air d'avoir peur et il me dit avec une voix tremblante :

- Je je ne veux pas vous faire du mal, je veux juste quitter cette forêt mais je me suis perdu !

Je baisse mon arc mais je ne baisse pas ma garde. Je le fouille, aucune arme sur lui est-il inconscient ? Comment avait il put survivre aussi longtemps ? Il m'assura et répéta qu'il était juste perdu et qu'il voulait sortir de cette forêt en disant ça son ventre gargouilla. Ce vieille homme n'avait pas l'air d'être très méchant donc je l'accueilli dans ma cabane et je lui donna quelque baies et le questionna :

« Je suis désoler mais je n'ai que ça si vous ne m'auriez pas interrompu j'aurai beaucoup plus de chose à manger mais que faite vous seul dans cette forêt ?

- Cela me suffit amplement et je suis désoler de vous avoir interrompu dans votre cueillette. Je devais traversé cette forêt pour rejoindre ma fille qui est de l'autre coter de cette forêt dans une petite maison mais j'ai été attaqué par un ours et je me suis écarté de mon chemin et je me suis perdue.

- Je vois, une fois que vous auriez fini de manger je vous montrerais le chemin.

-Merci, vous êtes bien aimable mademoiselle ! Me remercia t-il en souriant et il me regarda dans les yeux. En voyant qui les fixer je lui cracha :

- Qu'est ce que vous fixer comme ça ?!

Embarrasser l'homme détourna les yeux et me répondit :

- Vous avez des yeux unique en votre genre mademoiselle !

- Ce sont surtout des yeux qui répandent le malheur tout autour de moi ! Rétorquais-je

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