Je me levais doucement, la pluie martelait le velux alors que la chaleur était plus qu'omniprésente. Je me mis alors en position fœtal en sortant doucement de mon sac de couchage, un regard derrière moi me fit remarquer que tous le monde dormaient encore. Un coup d'œil sur la montre de ma voisine me tenu au courant qu'il était, pas loin de 4 heures du matin. Alors que je chaussais mes baskets à la va vite je jetais un coup d'œil à travers la porte de la bergerie et je vis que la pluie était violente et que le jour tardait à se lever. La chaleur me donna la nausée alors à pas doux, pour ne pas réveiller la vingtaine de personne qui dormait j'ouvris la porte le plus doucement possible et je sortis. Lorsque la première goutte me tomba sur le front et que le vent s'infiltrait entre mes vêtements je me sentis revivre. Alors que je me dirigeais vers les sanitaires, les souvenirs de la veille me revinrent à l'esprit. Le rangement, le lip-dub, la boum et le feu de camp. Déjà hier soir j'avais fais couler une larme, une personne était partit sans dire au revoir. Je me rendormis quelques temps mais la chaleur trop violente me refis ouvrir les yeux et cette fois -ci je n'étais pas la seule. Après avoir été réveillé en musique, déplacé les valises, je pus aller déjeuner, le ciel était aussi triste que mon cœur et la pluie redoublait alors que le moment des adieux se faisait venir. A chaque fois que quelqu'un arrivait chaque enfants redoutait que son prénom soit énoncer, comme si on allait se faire pendre. Chaque prénom d'amis annoncé les pleures redoublèrent, jusqu'au moment ou mon prénom fut appelé. Mon cœur se déchira des bras m'accueillirent, une vingtaine de paire de bras qui appartenaient à ceux qui m'avait fait sourire pendant 10 jours, il y en avait qu'une partie les autres disaient au revoir aux autres personnes qui partaient. Alors que mes larmes coulaient je repartit doucement dans la salle commune, avant de m'effondrer dans les bras de mes parents. Encore un câlin agrémenté d'un magnifique ciré jaune et je me retrouvis dans la voiture. Je jetai alors un dernier regard à ce lieu magique qui m'avait accueilli plusieurs jours depuis maintenant 7 ans, l'endroit qui m'avait fais rêver et rire de nombreuses fois.
Il fallait maintenant attendre un an avant de retourner dans mon deuxième chez moi avec ma deuxième famille. Doucement mes pensées allèrent courir autour des souvenirs, une chanson s'incrusta dans ma mémoire une chanson qu'on avait chanté de nombreuses fois durant ce séjour.-Merci, d'avoir enchanté ma vie/Kyo Dernière danse
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Merci d'avoir lu mon histoire...c'est mon état d'esprit d'il y a quelques jours, désolé si il y a des fautes je n'ai pas eu le temps de corriger...
2015
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le bordel
Randommon histoire tracée par un ciré jaune (destiné à ceux qui se reconnaîtront)