Another story of bad boy

Chapitre 1

(THOMAS en média)

La musique de mon réveil se fit entendre, me sortant doucement de ma rêverie. A la vue de l'heure sur mon réveil, six heure cinquante, je me souvins qu'aujourd'hui, jeudi premier septembre, je fais ma rentrée dans mon nouveau lycée, sans repère, sans amies... Je me prépara doucement, car je n'étais vraiment pas pressé de faire cette rentrée. Je m'habilla donc d'un débardeur blanc, d'une veste en cuir noir, d'un jean bleu, de chaussure un peu montante noir et d'un bonnet rouge. Malgrè que nous soyons en septembre, qu'il ne fasse pas froid, j'apprécie la présence de mon bonnet sur la tête. Je sors de ma chambre et marche doucement en direction de la cuisine afin de prendre un petit déjeuner consistant, qui m'aidera à tenir cette journée de cours. En appercevant un mot sur la table de la cuisine, j'ai vite compris que mon père était déjà partis à son travail. Je me servis un chocolat chaud, un verre de jus d'orange, et des tartines de Nutella. Après cela, je vais dans ma salle de bain pour me brosser les dents. Je pris ensuite mon sac de cours Eastpack noir, sortis de chez moi, en prenant bien soir de fermer la porte d'entrée à clé. Je marcha jusqu'à mon arrêt d'autobus, et attendis. Je fus surprise de voir qu'il n'y ai personne à cette arrêt. Je jetta un coup d'oeil à mon portable afin de voir l'heure, et je me rendis compte, que je m'étais raté mon bus.
Vive la rentrée ! Me dis-je ironiquement.
Heureusement le bus suivant n'allait pas tarder, mais j'allais quand même être en retard en cours. Dix minutes plus tard, le bus arriva. Assise, je regardai le paysage. Quelques minutes plus tard, me voilà descendu du bus, face à mon lycée. Plus personne n'était dehors, déjà tous rentrés. Je chercha mon nom sur les listes pour savoir dans quel classe j'étais. Terminale S1, bâtiment A salle 11. Je me mis donc à la recherche de ma salle, pour un cours de mathématiques. Je trouva la salle avec facilité grâce au plan du lycée installé à l'entrée. Je tocqua et ouvris la porte sans attendre la permission.
...Sarah Lloyd ? demanda la prof, alors qu'elle ne m'avais toujours pas remarquer
Présente !
La prof tourna alors la tête vers moi.
Vous êtes en retard ma demoiselle ! Vous ne faites pas très bonnes impressions pour un premier jour.
Je cherchai la salle madame, je suis nouvelle. Répondis-je un peu agacé de la morale qu'elle m'a fait.
Allez vous installé.
Je me dirigea donc sur une table vide au fond de la classe. A peine m'étais-je assis que quelqu'un tapa à la porte.
Encore ! Mais c'est pas possible ! Entrez ! Dit-elle agacée
La porte s'ouvrit donc sur un grand jeune homme très sexy, un beau brun aux yeux bleus éclatant, et une barbe de deux trois jours, qui accentu son charme.
Il a tout pour plaire celui-là ! Me dis-je tout bas.
Bonjour ! Madame, charmentes demoiselles et messieurs, veuillez m'excusez de mon retard, mon réveil n'aillant pas sonner et moi n'étant pas pressé... Je m'appelle Thomas, mon numéro est le 0-
Oui c'est bon monsieur Harris. Coupa la prof. Vous nous la faites tous les ans celle-là, on a compris ! Maintenant allez vous assoir à coté de mademoiselle Lloyd au fond, qui d'ailleurs va enlever son bonnet car nous sommes dans une classe !
J'obéis, n'étant pas motivée à répondre aux professeur. Le retardataire vint donc s'assoir à côté de moi, alors que j'était affalée sur mon sac posé sur la table. Il me sortis un de ces regards charmeurs essayant de me faire un peu d'effet.
Bonjour mademoiselle Lloyd, je m'appelle Thomas. Quel est donc ton prénom ? Dit-il toujours avec son regard charmeur.
Sarah. Dis-je lassement ne voulant pas sympthiser avec lui, me faisant une petite idée du genre de gars qu'il est.
Un joli prénom pour une jolie demoiselle. Me dit-il toujours avec un petit sourire en coin et son regard charmeur.
Je le regarde donc dans les yeux et me mis à rigoler.
Quoi ? Me demande-t-il.
Tu te rends compte que tu es complétement ridicule avec tes phrases de poètes ? Lui dis-je toujours en rigolant.
Son sourire s'affaissa, et son regard changea en un regard surpris.
Tu croyais quoi ? Que j'allais te tomber dans les bras pour tes beaux yeux ? Dis-je toujours en rigolant.
Sache, la nouvelle, que j'ai toujours ce que je veux. Me dit-il avec un air de défis.
Sache, le charmeur, que je ne suis pas un objet, et qu'il y a une première fois à tout. Lui répondis-je avec le même regard de défis.
Au même moment, la sonnerie retentit, annonçant la pause. Il se leva et alla voir ses amis pendant que je sortis mon téléphone pour jouer.