Koralj

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Si vous n'avez pas lu le prologue je vous invite grandement à le faire. Non pas seulement parce que ça me donne plus de vue ;-; mais parce que comme ça vous comprenez comment nos personnages son rendu dans cette fâcheuse situation! Bref, bonne lecture les gens!

Ça fait maintenant 4 ans que le virus est propagé. Les gens infectés avait les veines rayonnante pendant la nuit et leur yeux changeais. L'un devenait noir et l'autre devenais vert flash. Au début sa donne un vert feuille et un oeil a moitié noir. Leurs peaux grillaient au soleil et donc le jour nous étions sauf, mais la nuit par contre c'est toute une autre histoire et je peux vous dire qu'à chaque minute nous avons peur de mourir ou pire, de nous faire mordre. C'était la pire chose qui pouvais nous arriver. Être infecté reviendrait à condamné la mort de tout ceux qui nous entourait. Avant on croyais que la pire chose qui pourrait nous arrivais c'est une érection en publique ou encore pour les filles, n'avoir pas de serviette hygiénique sur elle, mais maintenant tout ça n'est rien comparé à ce qui se tien dehors. Je soupira une énième fois en m'agrippant mes cheveux. Toute ma famille est morte, celle d'Ava aussi. Il ne reste plus beaucoup de nous et une rumeur disait que les étincelles était un groupe de personne qui allait tous nous sauver. Après trois ans j'ai arrêté dis croire, mais pas Ava. Ses yeux son remplit d'espoir et elle croit à une solution. Moi je ne crois pas à une solution, je crois que peut-être que tout ça n'est pas arriver pour rien. Peut-être qu'on le méritais. Ava déposa sa tête sur mon épaule. Nous étions enfermer dans un bâtiment. Les quelques gens qui restait de l'armé était entré et avait liquidé tout ce qu'il voyait. Nous on se cachait d'eux mais quand ils eurent fini ça nous faisait une place en sûreté pour la nuit. Je rêve du jour où je pourrais sortir dehors sans avoir peur. J'aimerais de nouveau ressentir l'herbe fraiche sous mes pieds. J'aimerais seulement encore une fois voir ma mère me prendre dans ses bras et de lui dire d'une façon dégouté d'arrêter ça. J'aimerais revoir mes amis. Jack et Loan. Ils me manquent. Ils me manquent tous. Ava était tout ce qui me maintenais en vie. C'était la seul personne qui comptait grandement à mes yeux maintenant. Si elle mourrait je crois que je mourrais aussi. 

-Tu crois qu'un jour tout redeviendras beau? Me demanda- t-elle.

Je regarda les étoiles par la fenêtre casé. La lune brillait de milles feux et le vent soufflait agréablement. Même après tout ça il y a quand même de la beauté. Il y en a dans les petites choses. Dans les étoiles, dans le ciel, dans le soleil, dans les fleurs, dans les paquets de chips qu'on trouve quelque fois. Mais peut-être que tout ça était enfaite laid. C'est possible non?

-Est ce que tout à vraiment été beau? Lui dis-je.

Elle ne me répondit rien et fixa le vide. Je la regarda avec soin. La détaillant même. La lumière de la lune m'aidait seulement à voir la rondeur de son visage. Elle prit ma main très fort et je ne comprenait pas pourquoi.

-Je ne veux pas mourir Zach... Je ne veux pas...

Des hoquets sorti de sa bouche et elle commença à pleurer en silence. De nouveau elle pleurait. Moi aussi j'en avait terriblement envie. Nous, humain, avons tout perdu à cause de ses bestioles incontrôlable et vicieuse. Je fermis lentement les yeux et écouta les sanglots de la fille à coté de moi. Il y a quatre ans je n'aurais jamais cru tenir la main de cette fille, et pourtant me voilà ici dans des décombres en train de caresser sa main pour la consoler. Le monde peu si vite changer en peu de temps. Ça fait peur un changement aussi radicale, mais l'espèce humaine s'en est très vite accommodé, si on peux dire ça comme ça. Un bruit au loin se fis entendre. Je regarda Ava l'aire paniqué, puis je me leva en prenant mon flingue. Ava se leva silencieusement et se positionna derrière moi. Nous attendîmes et regardons dans la pénombre. Mon cœur battait à cent mille à la ronde. J'avais failli me faire mordre au moins 50 fois depuis le début et à chaque fois c'était épouvantable. Un miaulement, puis un chat blanc sorti de la porte entrouverte. Je soupira de soulagement en baissant mon arme et Ava lui fis un doigt d'honneur à cause de la charge d'émotion qu'elle avait eu avec se seul bruit. Chaque jour de notre vie nous avions peur. Au loin, des voix nous parvienne:

Everywhere deathWhere stories live. Discover now