Everywhere death

Facheuse réalité

Je me mis à vomir à cause de la trop grande  émotion qui m'a habité. Ava se décolla rapidement pour ne pas recevoir le reste de mon déjeuné sur la tronche. Je toussais une fois que j'avais finis. Mon estomac me faisait mal, tellement mal que j'aurais voulu me l'arracher pour ne plus le sentir.

-Qu'est-ce qui c'est passé?! Ont a entendu un coup de feu putain!! Demandait Kale en arrivant sur les lieux du crime.

Mon frère était définitivement mort le jour de ça fête. Comme une sorte de boucle sans fin. Il née,vit et meurt le jour où il a sut qu'il existait.

Putain, il est mort. Il est vraiment mort. Je l'ai tué.

Une boule ce forma dans ma gorge alors que je me laissais tombé au sol. Je me tourna sur un côté et cracha ce qui me restais dans la gorge. C'est absolument dégelasse, mais je préfère ça que de me trimbaler Avec le reste du vomi dans ma gueule. J'aurais pu vomir toute mes tripes encore, mais cette boule dans ma gorge m'en empêchais. Je ressentais comme un vide au fond de moi. Un gros troue, plus gros qu'avant. Plus destructeur encore. Je me perds. J'avais envie de pleuré ou de crié, pourtant rien ne sortait. Seulement ma respiration lente et silencieuse le faisait. J'avais l'impression d'être dans une autre dimension. Je n'entendais plus rien à part le coup de feu et sa cervelle qui explose. Toujours le même bruit en boucle dans ma tête. Ils avaient l'aire de parlé, de s'inquiéter pour moi, de me regarder d'un aire désolé, mais je n'étais sur de rien. Le faisaient-ils vraiment? Ava leur avait-elle expliqué la terrible situation?

C'était l'horreur. Je voulais me relever, leur prouver que j'étais plus fort que ça, mais j'avais les yeux rivé au sol. Je n'entendais plus que ma respiration calme maintenant. Je tentais de retrouver mes esprits. Les minutes s'égrainais et le silence était pèsent. Tout le monde s'étaient tue. Tout ce qu'on pouvaient entendre était des feuilles vierge volant au vent. Enfin un peu de silence et de repos. On est resté là un heure sans bruit ni geste. On aurait dit qu'ont était des pauvres statues égarer. Je pus enfin me lever. Le stresse était dissiper, mais j'avais encore mal.

-C'est bon, on peu y aller. Dis-je sur un ton neutre.

Aucune expression faciale, rien n'apparaissait. Ils me regardaient tous comme si j'avais changé en une heure. C'était faux, j'étais juste vide d'émotion.

Ils se levèrent et nous prirent route sans dire un mot. C'était pesant, agaçant même, je soupir en m'arrêtant.

-Je vous dis que c'est bon merde. Je vais bien, pas besoin de faire une tel tête d'enterrement. Dis-je sur un ton détaché.

La plus part, gêner, détournèrent le regard pour le poser sur des débris par si par la. J'avais envi de donner une gifle sur chacun de leur visage, mais je n'en fis rien bien sur. Je roula simplement des yeux et je continuais a marché, ils me suivirent par la suite. J'avais complètement oubli. qui j'étais, pourquoi je marchais, pourquoi je vivais. Ça n'avait plus vraiment d'importance de toute façon. J'allais surement mourir aussi et l'espèce humaine aurait disparue.

Il était maintenant proche de 18heure. Nous nous sommes arrêté pour manger. Je me tiens à l'écart du groupe pour ne plus avoir affaire à leur silence de merde. Loan vient s'assoir à mes cotés en mastiquant ses ananas en conserve. Je le fixe un moment, puis prend une gorgé de mon whisky, celui que j'avais trouvé il y a peu. Je grimaçais à cause de ma gorgé qui me brulait la gorge, mais je n'y montrait rien.

-J'aimerais bien bouffer un saloperie de Big Mac..

Je ne dis rien et bois en regardant le ciel qui, hélas, se couchera bientôt. Quelque minute s'égrenèrent dans un silence. Je tourne mon regard verre lui. Ses traits on l'aire plus mature que la dernière fois que je les vue. Il est sal et il put le sang, ou la mort, un des deux. Il se gratte l'épaule et je remarque une grande cicatrice le long de ce dernier.

-Qu'est ce qui c'est passé?

Je désigne sa cicatrice de mon index. Il le suit du regard.

-Oh.. Ça.. J'ai reçu une balle par un con qui passait par là.

Je soupira en détournant le regard. Le soucis avec les humains c'est qu'ils oublient qu'ils en sont. Ils oublie leur humanité et devienne des monstres qui assassine tout et n'importe quoi.

-Contant que tu sois en vie.

Il leva la tête vers le ciel et pris une grande respiration.

-Moi aussi. La vie est très importante tu sais.

Il me dit ça alors qu'il y a quelque heure j'ai enlever la vie à l'un des membres de ma famille.
Je bois cul sec une grande gorgé de whisky. Je me racle par la suite la gorge pour essayer de dissipé les effets de l'alcool.

-Jack, Jack est mort.

Un noeud se forma dans ma gorge alors que je fermais fort mes yeux. Mon meilleur ami mort. Je repris une gorge pour mieux faire passer la mauvaise nouvelle. Loan me prit la bouteille des mains et la planqua un peu plus loin.

-Tu en as assez bu Zach...

Je voyais flou à cause des symptômes que l'alcool me procurais. Je n'avais pas du tout une bonne tolérance à l'alcool.  J'étais hélas encore assez lucide pour réfléchir à la merde qui nous entour.

-Comment... Comment il est mort? Balbutiais-je.

Je n'étais pas sûr de vouloir savoir. Je ne voulais pas avoir le coeur réduit en charpie une centième fois, mais d'un autre côté j'étais curieux. Je pensais que j'allais partagé mes derniers instant de vie avec les personnes qui me son le plus cher à mes yeux, Jack et Loan, mais ça ne c'est pas passé comme ça. Loin de là.
Nous allions tous mourir seul, détaché de tout le monde.
Je le vis rejeter sa tête vers l'arrière tendus que sa mâchoire se crispait.

-C'est moi qui a dû le tuer.

J'écartela des yeux. J'avais pensé à toute éventualité, mais pas à celle la. J'avais pensé qu'il était mort d'une balle dans la tête à cause des mêmes type qui avait tiré sur Loan ou quelque chose comme ça, mais que se sois Loan qu'il l'aille tuer! Mon dieu! Je n'y avais même pas pensé une seconde!
Je cligna plusieurs fois des yeux pour tenté de trouver une explication logique à son geste. Il avait sans doute été mordu.

-J'ai abrégé c'est souffrance. Il voulait mourir... Dit-il.

Je ne pus me crisper. Je regardais Loan comme si ce n'étais pas lui, comme s'il était un imposteur et qu'il ne disait que des bêtises. Son visage contracté et solide me prouva le contraire. Bouche bée, je le dévisagea.
Un seul mot me traversa l'esprit: assassin.

-Crois moi, je ne voulais pas faire ça. Je t'en pris... C'était mon meilleur ami, je l'aimais beaucoup. Je voulais tout sauf ça mort... Mais si tu l'avais vue...

Il ferma ses yeux pour cacher la honte qu'il éprouvait envers lui même. Sont visage crispé laissait paraître un rictus de dégoût. Mes mains tentait d'atteindre la bouteille de whisky que mon meilleur ami avait planqué non loin de lui. Sans succès parce qu'il prit mon poignet.

-Te soûler la gueule ne changeras rien à ce putain de cauchemar.

Je ne pus cacher ma mine grimaçante de dégouts. Il avait raison, mais je ne pouvais m'empêcher de vouloir essayer. Il soupira et vida la bouteille en me regardant fixement. Loan n'avait jamais aimé les gens qui se soûlait, ça lui rappelait son père qui était toujours couché sur le divan, ivre mort. Pendant un certain temps, moi et ma famille lui avons offert une place à la maison. Il y était resté 5 mois. J'étais inquiet pour lui, je l'étais vraiment. Mais il n'arrêtait pas de me dire que tout allait bien se passé. Loan était toujours là pour me mené sur le droit chemin. Loan semblait être l'homme le plus intelligent de notre petit groupe d'ami. Jack était le farceur, le con. Et moi j'étais... Moi. J'ai toujours été plus proche de Loan que de Jack, mais ça ne voulait pas dire que j'aimais pour autant moins Jack. Tout les deux m'étais très préoccupé, c'était comme deux autres petit frère.
Aaah merde. Il n'y a plus de Jack. Le pire dans tout cela c'est que Loan a dû se chargé du sort de notre meilleur ami. Il n'y a plus rien sur cette maudite Terre.

-Tu veux savoir en détaille pourquoi j'ai dû le.. Tuer?

Je secoua de la tête. Ma voix avait complètement disparu depuis qu'il a dit "j'ai abrégé c'est souffrance". Je voulais me faire tout petit, je voulais arrêter de pensé à tout se foutoir. La nuit allait etre affreusement longue.