Chapitre 3:Le coup bas

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14 juillet 1988:

Aujourd'hui c'est non seulement la fête national de la France mais aussi le jour du gala de charité le plus important de l'année à New York .J'ai été chez le coiffeur je me suis mise sur mon 31 ,un peu plus tard je suis retourné au bureau chercher mon discours puis je suis reparti vers la salle des festivités pour tous supervisée.A 19h tous les invités commençais à faire leur apparition .Donc je devais ensuite dire mon discours mais d'abord c'était Avery .Elle s'avança vers le Pupitre pour réciter son texte
"Mesdames et Messieurs,Bonsoir Aujourd'hui est un très grand jour pour la ville de New-York ..."
Je l'écoutait parler et bizarrement je trouvais que son texte ressemblait étrangement aux mien.C'est que au bout du milieu du discours que je compris que ce n'était autre que le miens.Comment avait-elle pu me le prendre,nous n'étions pas les meilleures amies du monde mais je pensais bêtement que la méchanceté était passée entre nous deux.J'etais bien déçu et surtout humiliée.Je venais de comprendre pourquoi elle était devenu si gentil, c'était pour me faire encore plus de mal lorsque elle allait me planter son couteau dans le dos . J'étais énervé ,triste et en colère à la fois que lors de mon discours je fis l'improvisation la plus médiocre au monde sous le coup de l'émotion .Peu après j'avais appelée Avery en lui faisant croire que j'avais malheureusement perdu mon discours et donc que j'avais complètement gâcher la soirée avec ma très mauvaise improvisation.De plus je lui fit croire que je n'avais  pas entendu sa conférence pour qu'elle me rejoins,ce qui marchait fort bien .Nous étions dans un coin tranquille où personne ne pouvait nous entendre,après avoir joué la comédie ,je lui affirmait que j'avais démasquée tout son petit numéro d'un ton antipathique. Je l'ai insulté de tous les noms, j'étais hors de moi je ne me contrôler plus et alors qu'elle se retourner.Je vis cette pierre grise au bord rugueuse comme une illumination et je l'ai frappé et frapper le plus fort possible jusqu'à qu'elle arrête de se débattre, je pensais à toutes les souffrances horrible qu'elle m'avais fait endurer.Des petits choses de la vie qui font très mal à force. Mais ce n'était rien comparé à ce que je lui avais fait endurer.              J'étais sous le choc que j'eus une crise de panique affreuse.Ce que j'ai fais est impardonnable,je le regrette mais il le fallait,c'était elle ou moi.

Le journal d'Aria FitzOù les histoires vivent. Découvrez maintenant