Dark Lyrics

Chapitre 4

Le danger un si petit mot, pour une si grande définition. Ce que je trouve incroyable c'est que chacun en a une définition qui lui est propre. Jusqu'à maintenant je m'étais contentée de réciter ce qu'il y avait dans les indéchiffrables dictionnaires, mais je ne trouvais pas de sens à tout ça. Mais maintenant je trouve que c'est excitant. Le danger est une peur, une peur qui nous montre des limites. Mais l'homme a toujours voulus aller plus loin, ne pas se contenter de ce qu'il a, il franchit les limites que la vie lui fixe. Ce sentiment de peur produit de l'adrénaline, ce qui nous permet d'avoir l'impression de ne pas faire que vivre, mais de jouer avec la vie comme avec un jeu.

L'alcool transpirant sur l'haleine des gens, les amateurs de danse, les amours d'un soir et des tas de choses du même genre. Pour une fois la fille que je suis n'ai ni à l'aise, ni mal à l'aise. Elle est entre tout ça. Maria n'avait pas tord: c'était une occasion à ne pas manquer. Décidant de prendre l'air je me dirige dans le carré d'herbe renommer pour la plupart de jardin. Adossant mon dos contre le mur, recroquevillant mes genoux sur ma poitrine et terminant par poser ma tête contre ceux-ci. Je concentre mon ouïe sur la nature. Avec un peut de volonté on peut arriver à entendre le chant des insectes ou bien entendre le bruit de la neige datant  de la veille s'écouler sur le toit. Ma tranquillité fus courte, plus que ce que j'aurais aimée en tout cas. Une silhouette s'approche à grand pas de moi. L'ombre est maintenant à mes côtés, je peux discerner son visage : blond au yeux bleu.

Cette homme d'un point de vue physique avait l'air parfait, trop parfait que ça m'en faisait presque peur. On se croirait devant un ange. Mais il ne me faisait pas rêvé, ce n'était qu'un homme rien de plus, mis à part le faite qu'il me dérange en pleine écoute.

- Salut, tu fais quoi ici toute seule. Demande brusquement l'ange, insistant étrangement sur le mot seule.

À l'entendre on pourrait se croire dans l'un de ces compte. Où la jeune enfant rencontre le grand méchant loup, aux paroles trompeuses.

- Quelque chose. Lui répondis-je feignant l'insolence.

Je repose ma tête contre mes genoux et la tourne pour ne plus le voir. Je ne suis et ne serais jamais quelqu'un de calme ou patiente, jamais. Je m'énerve pour un rien, mais le montre rarement. Remplaçant le dérangement par un sourire, une de ces nombreuse techniques de la fille brillante et parfaite en vue de la société. Il rigola de la même manière qu'un ange, ça me fait peur. On dirait une personne parfaite, même son rire est parfait, mais la simple prononciation du mot parfait me glace le sang. L'excellence qui habite son corps me terrifie sadiquement.

- je vois que tu n'as pas très envie de faire connaissance. Sortie d'une paire de lèvre toujours aussi impeccable.

Là s'en était trop. Me jouais ton un mauvais tour? Pourrait-il montrer juste  un seul de ses défauts pour me rassurer, au lieu de continuer à m'écœurer?

- Je vois que tu as bien comprit. Répondais-je.

Il prit un faux air vexé, plus ou moins drôle. Nous restons là, le regard dans le vide à attendre. Le silence est revenue. Moins agréable cette fois, il est plus pesant quand on le partage avec une personne. Mes yeux commençais à se fermer, je n'allais pas me forcer à rester ici. Je me lève d'une façon des plus rassurante et commence à m'en aller sans dire un dernier mot au jeune homme. Je n'ai fais qu'un petit pas, qu'une pression se ressentis sur mon poignet gauche, me faisant me retourner.

- Je m'appelle Gabriel. Me dit-il.

Gabriel, Gabriel, Gabriel ce prénom résonne comme une affreuse blague dans ma tête. Avait-il prévu son coup? Le faisait-il à tout le monde? Ou bien était-ce un cliché des plus énorme? Pour moi c'est impossible : L'ange Gabriel ne peut pas se trouver à mes côtés. Je rigole nerveusement, espérant que cela soit discret.

- D'accord! Plissais-je entre deux souffle, mes mots n'ayant aucune ordonnance face à ma pensée.

- Et toi, puis-je te demander ton prénom?

Surprise de sa question, le rouge grimpa sur mes joues. Par grand bonheur la nuit noir qui est présente ce soir me cache de tous ces petits défauts mesquins. Alors de mon plus grand courage je lui répond:

- Cadence...

De ma réponse sérieuse et curieuse que mon prénom apporte il lâche l'emprise qu'il a sur mon bras, profitant de ce petit moment d'inattention. Je partis, augmantant la vitesse à chacun de mes pas. Je retrouve l'intérieur qui empeste l'alcool de ces soirées mondaines. La peur de me retrouver une nouvelle fois face à Gabriel, l'ange aux milles perfections, je sors du bâtiment. Les rues sont désertes, pas un bruit. Je regarde une dernière fois la porte forgée dans du bois, pour finir par détourner le regard.

Un grincement eut le don de me pétrifier, ce qui me fis retourner presque automatiquement. La peur s'atténua quand je vis que ce n'étais que l'un des occupant de cette fête qui sortais par la porte.  Aurais-je préférée un inconnu ou une personne déjà vue? De toute façon il n'était qu'un visage de plus dans ma vie quotidienne, pas grand chose. Mais c'est énervant de ne jamais être seule. Le barman a refait surface, pleins de bouteilles vides à la main et me dit :

- Tu pars déjà? Me taquine t'il d'un air coquin.

Il ne me fatigue plus qu'autre chose. Ne pouvait-il pas jeter ces bouteilles dans le silence? Je ne répondis pas de suite. À la place je branche mes écouteurs à mon cellulaire, met ma tendre musique. Je commence à partir et lui répond :

- Comme tu le voit, oui.

Il fait apparaître un sourire narquois , face à ma réaction. Ne me préoccupant plus de rien mis à part de la musique qui jouit dans mes écouteur, je marche. Minutes après minutes la façade mon habitat se présente à mes pieds, le soulagement d'être enfin de retour chez moi m'envahit. Je me précipite dans ma salle de bain et me prépare du plus vite qu'il m'est possible, pour allez m'endormir sous la chaleur des couvertures.

La musique défile encore en boucle à travers mon portable. Je décide, à l'encontre de mon envie, de me levez l'éteindre. Sur l'écran d'accueil de ce dernier est bel est bien affichée la chose des plus blessante et des plus rassurante que j'ai vu de la journée. Je me demande si c'est une bonne chose de l'avoir découvert avant de me coucher. Je ne vais pas réussir à m'enlever ce qu'il y a marquer sur ce petit objet numérique de toute la nuit.

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Hey! Chapitre cours je vous l'accorde, mais comme excuse je peux vous dire que c'est parce que dans le prochain il risque de ce passer plusieurs choses! Merci encore de lire ma fiction j'essaie de m'améliorer, alors n'hésitez pas à me donner vos conseil "d'expert".

-E-