Dark Lyrics

Chapitre 8

Je me lève en sursaut pas la sonnerie de mon réveille. Comme d'habitude, ca en devient lassant. Je soulève brutalement la couette, et pars dans la cuisine. J'ouvre le placard et prend la bouteille de lait acheter la veille que je pose brutalement sur la table. J'ai souvent cet humeur quand je me lève : énerver, insupportable, invivable... Je plains ceux qui doivent me supporter. Mes yeux me brûlent, je suis masochiste je me fait mal toute seule. Pensée à ma solitude dans un moment pareil, je suis pas possible. Rapidement je prend un verre dans le placard et en voulant le poser lui aussi brusquement sur la table, il m'échappe des mains et vas s'écraser sur le sol. Je suis vraiment maladroite. Qu'es qui m'arrive ces temps-ci, je fais plus rien correctement. J'occupe de l'espace, je coûte de l'argent et je ne serre a rien.

Je penche vers le sol pour ramasser les débris de verre qu'à causer ma maladresse. Je les récupère et referme ma mains dessus, une phrase me revenant en tête : Sois un modèle, car les incompétents n'ont rien à faire dans ce monde. Autrefois je croyais que ma mère avait tord en me disant ses mots. Je pensais que les incompétents n'existais-pas et que d'une façon ou d'une autre on était tous douée dans quelque chose. Mais j'étais bien naïve, elle avait raison il y a longtemps j'avais un avenir sous les yeux maintenant je ne suis plus rien. C'est pas une vie, ce que je fait tout les jours. Je me contente de survire.

Sans m'en rendre compte je serais encore plus fort les morceaux de vers dans ma mains. Une goutte de sang tomba au sol mais une seule uniquement. Ma blessure au cœur étant si grande je ne ressens rien. Alors je resserre de plus en plus ma mains et cette fois-ci ce n'est pas une goutte, mais une goutte de sang qui coule de ma main.

Je ferme les yeux et les réouvre, je répète plusieurs fois ce même geste et pars jeter les débris. Je pars dans la salle de bains et ouvre le robinet, je passe ma main sous le jet d'eau. Une fois que toute trace de sang est disparu je regarde d'un peu plus près la blessure, c'est une entaille assez profonde. Je ne sais pas quoi faire ni comment la soignée, alors je la laisse la douleur toujours présente. Mais elle reste plus forte mentalement.

***

Au lycée j'évite tout contact que se soit avec Maria et Carlos ou la bande à Gabriel. J'ai pas envie de parler, alors je me contente de regarder le gens je les observe et j'écris. J'écris ce qui ressemble à des paroles de chanson.

'Derrière toujours derrière je les regarde.
Je ne m'approche pas j'ai peur, peur de moi.
Ne m'aidez pas je suis un cas perdu.
Laisser moi ferme les yeux et oublier.
Pourquoi quand je les voie sourire je recule. Pourquoi quand je me sens mieux ça empire?'

Quuesque je pense moi? Je dois pas être si  pessimiste.

Je sentis brutalement une mains se poser alors que j'étais sur un banc de la cour avec mon block note à la main. Je me retourne et voit James. Mais il fait quoi la?

- Hum, désoler pour hier.Me dit il.

Je ne lui répond pas et regarde au loin, au bout de deux minutes environs il me redis :

- J'ai dit désoler.

Aucune réponse de ma part. Il commence vraiment à s'impatienter je le voyais serrer les poings ainsi que la mâchoire alors que je commençais à m' énerver moi aussi.

- He oh tu m'écoute quand je te parle?

Pourquoi, pourquoi il ne peut pas me lâcher. Pourquoi il revient toujours me parler. N'a t'il pas compris le message. Tout le lycee l'a compris ou presque mais lui et son humeur est toujours la à s'acharner quand je veux être seule.