- Regarde moi bien dans les yeux Rayane, t'étais mon frère je t'aimais plus que ma propre personne et toi tu me trahis comme sa ? Si je le fait c'est pour la famille et pas pour toi, sinon je t'aurai laissé dans ta merde !
Rayane- ...
C'est lui qu...
- J'aime pas les crevettes. Nabil- Et ça? - J'aime pas les carottes. Nabil- Mais wesh .. et ça dit moi pas t'aime pas - J'aime pas les concombre. Nabil- Et vas-y la vie de ma mère je te demande plus rien prends les trucs que tu veut et me casse pas les couilles. - Mais narvalo je t'ai rien demander moi, malade lui
Je prend ce que je veut, gâteaux, bonbons, fruit, légume, pattes ect.. j'ai fait sa bien vite j'en avait marre d'être avec cet hypocrite dans la rue.
- C'est bon. Nabil- Casse-toi tu casses les couilles. - Mais toi je t'ai dit déjà dit d'arrêter de parler avec moi je sais pas y'a quoi tu comprends pas Nabil- Tu va faire quoi?
Il essayer de me mettre des coups pour rire, mais mec enfaite j'ai pas envie de rire avec toi. Je lui disais d'arrêter mais il continuer, vraiment ce mec c'est un enfant il est lourd. Je sentais un regard sur moi, je regarde et je vois Nassim, il me regarder avec un regard noir, de la haine et du dégoût. Je vous jure j'ai lu dans ces yeux, putain il va croire je rigole avec lui et tout alors que pas du tout. Mon visage il c'est décomposé.
Nabil- Ta quoi ? - Rien bref.
On va à la caisseil paye avec sa carte et on rentre. Je pensais grave à Nassim je sais pas qu'est-ce qu'il va penser de moi, sa me saoule.
15:30
Nabil- Non sérieusement arrête le travail. - Mais tu crois t'es qui ? Jamais de ta vie je vais arrêter parce que tu me le dis mais t'es fou toi Nabil- Comment ça je suis qui ? -Ben t'es qui toi pour me demande d'être une femme au foyer ta craquer ou quoi, je sais même pas pour je prend la peine de te répondre déjà Nabil- Parle moi bien déjà - Tu va faire quoi tu va me frapper ? Mongole va Nabil- Ouais et après tu va pleurer - Mais vas-y essaye Nabil- Vas-y casse-toi.
Je ne le calcule même pas, je vais dans ma chambre m'habiller pour aller chez ma mère :
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Nabil- Tu va où toi? - Eh mais toi arrête de prendre la confiance avec moi, on a aucun compte à ce rendre tu fait ta je fais la mienne. Nabil- On verra auprès de ton daron si ta pas de compte à me rendre, dit moi ou tu va parce que c'est moi j'ai les clés de la porte. - Chez mes parents, vas-y passe maintenant. Nabil- Vieille meuf va vas-y sors
Il me pousse hors de la maison et ferme la la porte. Je m'en suis voulue de rigoler, vraiment.
- Maman calme toi s'il te plaît qu'est-ce qui a il est où papa?
Elle me répond même pas, elle faisait que pleurer je comprenais pas, je vais dans la chambre de Jessym et je vois Zina dans ces bras, en pleure.
- Mais wesh il ce passe quoi ? Jessym- Rayane il est à l'hosto, il est dans un coma artificiel.
Je vous jure que mon cerveau à bloquer pendant quelques secondes. Dans ces moments la tu repenses à tous les moments négatifs, quand je lui ai dit des paroles blessantes, quand j'ai pas voulu lui pardonner hors qu'il ma demander pardon mainte et mainte fois. Vraiment j'ai eu tellement de regrets.
- Il est à quel hopital? Jessym- Saint*******.
Je me lève et je vais voir ma mère, je la prend dans mes bras.
- Maman pleure pas t'inquiète pas il va ce réveiller Incha'Allah il y a rien de grave ok ? Je vais aller à l'hopital là tu reste ici te reposée et demain on ira ensemble, ok?
Elle hoche de la tête je lui fait un gros bisous et je vais à l'hopital.
17:20 À L'HOPITAL.
J'arrive a l'hôpital , j'ai hésité avant d'ouvrir la porte j'avais peur de ce que j'allais voir. J'ai finit par l'ouvrir mais je suis pas rentré je l'ai refermé. En dirai qu'il était mort, vraiment il était pâle ,allongé et branché à tous ces fil ça ma fait trop mal cœur. Je pensais au pire je suppliais Dieu dans ma tête de ne pas me l'enlever avant de l'avoir pardonner et lui dire à quel point je l'aime malgré tout. Vraiment la fierté nous montre qu'on peut perdre les gens qu'on aime sans qu'on le sache, donc sa ne sert à rien. Je prend mon courage à 2 main et rentre dans la chambre, quelques minutes après mon père me rejoins.
Mon père- Pleure pas ma fille t'inquiète pas il a rien, c'est comme si il dormait.
Il essayer de me rassurer le mieux qu'il peut mais bon, je suis plus une enfant papa.
Médecin- Bonsoir. - Bonsoir. Médecin- Ne vous inquiétez pas il est dans un coma de sédation-analgésie sorte de grosse anesthésie générale, induite pour protéger le cerveau et mettre en place une ventilation artificielle, rien de grave il y a pas besoin de s'inquiéter plus que ça pour l'instant.
Ça m'a rassurer un peu, mais bon j'étais tout de même très inquiète. Je savais même pas ce qu'il c'était passer.
