Salope obéissante.

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Une fois le film fini, je leur dis bonne nuit et les laissai seuls. Mais j'avais un plan. Je patientai longtemps dans ma chambre jusqu'à ce que Carolyn aille à la salle de bain. La salle de bain était juste à côté de ma chambre et on ne pouvait pas la voir du salon.

Lorsqu'elle passa, j'ouvris la porte et lui lançai un regard noir.

— Viens ici, salope, ordonnai-je dans l'embrasure de la porte de ma chambre.

C'était un test. C'était LE test. Si elle n'était qu'une fille craintive, trop timide pour oser de me dire d'arrêter, alors elle ne m'obéirait pas.

Elle baissa le regard, les joues empourprées et rentra dans ma chambre.

Je la poussai contre le mur et l'embrassai sauvagement. Je relevai sa jupe, glissai une main dans sa culotte à la recherche de son clito.

Je la retrouvai mouillée. Trempée plutôt. Je me demandai combien de temps elle était restée à côté de Tom dans le salon. Etait-elle restée assise à ne rien faire, mouillant comme une chienne en attendant un signe de ma part ?

Alors que je la doigtais, je lui pris la main et l'enfonçai dans mon boxer. Elle saisit ma bite en érection, sans bouger ; elle la tenait juste entre ses doigts et sa respiration s'accéléra.

Mes doigts étaient brillants de son jus, je lui caressai le clito en appuyant dessus et entrepris un lent mouvement circulaire avec deux doigts.

Elle se mit à me branler, doucement, avec hésitation.

— Je...,tenta-t-elle d'articuler à bout de souffle.

— S'il te plaît, tu vas me faire... ajouta-t-elle.

Elle tenta de glisser contre le mur, se tortilla pour échapper à mes doigts.

— Que veux-tu ?murmurai-je à son oreille, la guidant avec main pour qu'elle me caresse plus vite.

—Si... près du but.... Elle semblait vraiment le vouloir son orgasme, mais elle luttait pour ne pas crier.

Je glissai un doigt en elle. Elle était si étroite, et j'avais de si gros doigts que je crus que je ne pourrais jamais en introduire un deuxième. C'était un charmant spectacle. Elle prit peur quand elle se mit à jouir. Je la doigtai tout en caressant son clito du bout du pouce ; elle mit ses mains à la bouche afin d'étouffer ses cris.

Dès qu'elle eut joui, elle sortit en trombe de ma chambre, et s'enferma dans la salle de bain. Je bandais dur. Je bandais et je voulais baiser.

Carolyn rougit.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant