La fois suivante, ils étaient sur le canapé en train de regarder un film. Je leur souris, dis bonjour et allai me réchauffer à manger dans la cuisine.
Il s'était écoulé quelques jours et Tom, de toute évidence, ne savait pas que je lui avais peloté le cul. Ce souvenir m'obsédait et je me touchais la nuit en y repensant. Elle avait l'air effrayé, et pourtant elle n'avait rien fait pour y mettre fin. Je me demandai jusqu'où je pouvais aller.
— J'espère que ça ne vous dérange pas si je dine dans le salon. Je n'aime pas manger dans ma chambre, dis-je en m'asseyant sur une chaise près du canapé, du côté de Caroline. Notre appartement était vraiment petit et nous n'avions vraiment pas d'autre choix que de manger dans le salon ou dans nos chambres.
— Pas de problème. Le film est bientôt fini, répondit Tom en souriant. Carolyn regardait nerveusement la télévision.
—Je vais nous faire du popcorn, ajouta Tom en se levant. Carolyn semblait pétrifiée.
Dès qu'il fut hors de vue, je me penchai sur elle et lui sourit.
—J'ai pensé à ton p'tit cul sexy tous les soirs Carolyn. Tom a beaucoup de chance.
Je me rapprochai d'elle, et entendant Tom chercher le popcorn dans les tiroirs de la cuisine, je glissai ma main le long de sa jambe pour caresser son cul. Elle ne fit rien pour m'en empêcher et détourna simplement le regard. Je m'enhardis et pris ses seins dans le creux de mes mains. Ils étaient parfaits.
— Vivement que Tom nous laisse un peu plus de temps tous seuls. Nous pourrions mieux faire connaissance.
J'entendis la porte du micro-ondes claquer et repris ma place juste à temps.
— Le popcorn sera prêt dans quatre minutes. C'est comme au ciné, ici.
Je ne pus retenir un grand sourire sadique. Dans quatre minutes, je pourrai à nouveau goûter à Caroline. Lorsqu'il se leva, elle le suivit.
— As-tu besoin d'aide? l'implora-t-elle en l'attrapant par le bras.
Je dus me retenir d'exploser de rire. Il lui tapota le bras. —Non, non merci. Assieds-toi et profite du film. J'arrive bientôt. Je vais aussi faire fondre du beurre!
Je me levai dès qu'il eut disparu dans la cuisine et posai mes mains sur les hanches de Carolyn. Du fait de sa petite taille, sa tête m'arrivait à la poitrine. Elle la fixait, et ses joues rougirent à nouveau. J'adorais ça. J'adorais la sentir trembler dans mes bras.
Je l'enlaçai et lui pelotai encore une fois le cul, frottant mon sexe durci contre son ventre. Je l'embrassai dans le cou et lui grognai à l'oreille. — Tu veux me faire croire que tu es une gentille petite fille. Mais je peux te dire que tu aimes ça. Si ce n'étais pas le cas, tu me repousserais.
Je lui mordillai l'oreille, elle flancha, mais je dus m'interrompre lorsque j'entendis Tom revenir.
Mes attouchements reprenaient à chaque fois qu'elle passait avec Tom à l'appartement. Je lui pinçais les fesses, lui caressais les seins. J'espérais une occasion de pouvoir aller plus loin.
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Carolyn rougit.
ContoElle semblait si petite, si fragile ! Lorsque Tom, mon coloc, m'a présenté sa nouvelle petite amie, je n'ai pu m'empêcher de rire. Franchement, elle devait mesurer à peine un mètre cinquante et à la façon dont elle se tenait les bras croisés, les y...