Faiblesses.

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Quelques semaines plus tard, Tom proposa que nous passions la soirée tous les trois et que nous regardions un film qui venait de sortir en DVD.

Il amena Carolyn à l'appartement et proposa d'acheter des pizzas à emporter. Carolyn voulut l'accompagner, mais, toujours très galant, il insista pour y aller seul.

En fait, Tom s'était mis en tête que Carolyn ne m'aimait pas, ce qui était certainement vrai. Mais il ne savait pas que c'était parce que je la touchais et la tripotais. Il pensait que c'était juste parce que nous n'avions pas vraiment pris le temps de faire connaissance. Bien sûr, Tom n'avait pas eu cette idée tout seul, c'est ce que je lui avais dit. Tom était crédule et je dois dire que je peux être très convaincant lorsque je le veux. Tom suivit donc mon conseil de nous laisser passer un peu de temps en tête à tête afin d'apprendre à mieux nous connaître.

Lorsque Tom mit son manteau pour sortir, je dévisageai cette charmante petite Carolyn. Elle portait une jupe aux genoux et un chemisier. Elle portait également un gilet, mais elle le retira lorsque je montai le chauffage. Elle avait attaché ses cheveux en queue de cheval et avait mis du gloss rose sur ses lèvres boudeuses.

A peine fut il sorti que je me jetai sur elle, l'embrassant à pleine bouche. Elle tenta de me repousser, mais elle n'avait pas beaucoup de force. Je l'embrassai, ses lèvres avaient un goût de vanille. Je bandais. J'essayai de forcer le passage de sa bouche pour y introduire ma langue, mais elle maintint les dents serrées. J'appuyai alors violemment sur ses seins pour qu'elle s'allonge sur le canapé. Elle geignit lorsque je déboutonnai les premiers boutons de son chemisier et passai mes mains dessous. Elle prit fermement ma main, dans une vaine tentative de la retirer, sans jamais lâcher un mot de protestation.

Je regardai ma montre et me fixai une limite de quinze minutes. Je savais que devais lui laisser du temps pour se rhabiller mais j'étais déterminé à prendre mon plaisir avant le retour de Tom.

Je fis courir mes doigts le long de ses jambes, puis relevai sa jupe. Elle écarquilla les yeux de frayeur et tenta d'articuler quelque chose, mais aucun mot ne sortit de sa bouche. Elle avait l'air effrayé. Cela m'excita encore plus.

Ces jambes étaient blanches et douces et je tentai de me frayer un passage entre ses cuisses qu'elle maintenait désespérément fermées. En vain. J'étais énervé de ne pas parvenir à mes fins. Je pressai mes mains plus fort sur ses genoux, elle se tortilla pour m'échapper, mais elle ne put résister plus longtemps et je parvins aisément à ouvrir ses jambes. Elle tenta de les refermer, mais je la poussai à la renverse sur le canapé, les jambes en l'air et lui donnai une grosse fessée.

Les événements prenaient une tournure intéressante. Je la sentais tendue, mais ses jambes fléchissaient. Je la fessai encore pour qu'elle comprenne bien qu'elle était ma chose. Puis je glissai ma main entre ses cuisses.

— Bien, bien, bien, dis-je avec un sourire carnassier.

— C'est très intéressant tout ça. On dirait bien que notre petite sainte-nitouche est trempée. Je sentais sa culotte mouillée et l'écartai pour découvrir sa petite chatte rose, couverte d'une fine toison brune.

—Je me disais bien que tu étais une vraie salope, en fait, ajoutai-je en introduisant un doigt dans sa moiteur et en l'observant se débattre et gémir. Lorsque je glissai un doigt, elle saisit ma main, mais j'attrapai ses deux poignets d'une main et maintins mon étreinte afin qu'elle ne me gêne plus.

Je regardai ma montre. Je n'avais plus beaucoup de temps. Je la doigtai à nouveau et n'avais qu'une idée en tête : la baiser. Je n'en doutais plus, c'était une grosse chaudasse qui aimait être forcée et j'allais la prendre. Ce n'était plus qu'une question de temps.

Je glissai mes doigts mouillés dans sa fente, et caressai doucement son clito. Elle ferma les yeux et se cambra.

— C'est ça, fais-toi plaisir salope. Tu veux que je te mette plus de doigts? Elle fit non, non de la tête et se mordit la lèvre. Je continuai, la doigtai plus ardemment encore. Je trouvai son clitoris, le frottai et fus surpris de le sentir allongé et gonflé. Les yeux fermés, elle gémit et arqua le dos. Je jouissais du pouvoir que j'exerçais sur elle. Je la regardai se raidir, son corps contre le mien. Alors, je m'interrompis.

— Tom ne va pas tarder à rentrer. Je ferais mieux d'arrêter, dis-je en lui souriant sadiquement. Je glissai mes doigts dans la bouche. J'aimais son goût.

Elle semblait embarrassée et frustrée. Les jambes fermées, elle réfléchissait à ce qu'elle devait dire ou faire.

— Sauf si tu veux continuer. Je la regardai dans les yeux, mais elle détourna le regard et haussa les épaules.

— Tu n'as qu'à me le demander.

A ce moment, on aurait dit qu'elle était sur le point de pleurer. Elle se tenait les jambes, les frottant l'une contre l'autre.

— Si mouillée et si près du but, mais ton excitation est retombée, n'est-ce pas ? Tu sais quoi, je suis vraiment bon avec ces choses-là. Je suis sûr que je peux te faire jouir en un rien de temps. Alors décide-toi rapidement avant qu'il ne soit trop tard.

Elle déglutit. «Ok», dit-elle.

— Non, pas Ok. Dis que tu en as envie. Je posai ma main sur ses jambes et les ouvris.
— Je le veux, dit-elle en faisant la moue. Mais alors la porte s'ouvrit sur Tom et Carolyn se redressa.

Tom entra en souriant, une pizza à la main. Je me délectai de l'observer si mal à l'aise pendant tout le film.

Carolyn rougit.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant