Princesse/A.G

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Louise: Pardon?

Alors qu'elle se mît a ricaner bêtement, pour ma part je me sentis assez conne à ce moment là.

Gaëlle: Tu m'as bien comprise. Mais on peut rester copine, et se rendre des services, je sais que ça ne te dérangerais pas, pas vrai?

Elle pointe mon repas du doigt pour se justifier. Je resta sur le cul, je ne m'attendais pas à ce retournement de situation soudain. Elle est passée de fille innocente et aimable à grosse taspé comme d'habitude j'ai envie de dire.

Louise: Pourquoi est ce que tu me dis ça?

Gaëlle: Tu sais très bien pourquoi. Je veux que tu arrêtes de lui tourner autours.

Je rit doucement pour tenter de cacher mon amusement.

Louise: Premièrement, ce n'est pas moi qui lui tourne autours, c'est bien lui.

Elle me dévisage, et entre-ouvre la bouche.

Gaëlle: Il m'aime, et je suis sur de ce que j'avance.

C'était à moi de la fixer, je ne comprenais plus rien, j'avais l'impression d'être dans un rêve, tout me semble si étrange autours de moi. Je revoyais Antoine me dire que Gaëlle n'était rien pour lui, alors que Gaëlle affirme le contraire, ce n'est pas cohérent.

Louise: Très bien alors, puisque tu le dis.

Je n'avais pas la force de débattre avec elle, je n'avais qu'une envie, qu'elle s'en aille. Ce qu'elle fut sans plus attendre, en prenant soin de me lancer un beau sourire hypocrite en partant. C'est le début d'une nouvelle guerre.

Après mon repas je décida de me lever, je constata que ma tête ne s'était pas arrangé pendant mon sommeil mais plutôt empiré, je couru alors sous la douche une fois de plus.

Après une bonne douche chaude je m'habilla simplement d'un sweat et d'un short accompagné de mes beaux chaussons puis je décida d'aller faire un tour au salon.

Lorsque j'entra dans la pièce j'aperçu pas mal de monde, je n'avait aucune idée de ce qu'il se passait, car j'avais raté pas mal de choses. Je vis mes "amis" installés sur un des canapé alors je les rejoignirent.

Paul: Une revenante!

Je souris, ils firent de même.

Louise: Yo.

Je tchek tout le petit monde, dont Antoine.

Kingsley: Ça va mieux?

Louise: Oui, on peut dire ça.

À vrai dire je me sentais encore très fatiguée et à bout de forces mais je faisais un effort.

Paul: Viens à coté moi poulette.

Je souris en le voyant tapoter la place à ses côtés et la rejoignit sans discuter.

*

Après avoir discuté avec les gars comme d'habitude, j'aperçois Remi au loin, je décida d'aller le voir.

Remi: Ça va?

Je le trouva différent que d'habitude, peut être pas assez joyeux.

Louise: Ça peut aller.. Je suis désolé pour mon absence.

Remi: T'en fais pas, c'est pas ta faute d'être malade, j'espère juste que ce n'étais pas dû à ta sortie en boîte.

Il esquissa un petit sourire qui me rassura un peu.

Louise: Non du tout, je pense que c'est sûrement la fatigue qui a pris le dessus sur mon corps.

Nous rions.