Chapitre 5

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Quand je me suis réveillé il y avait plus personne dans le lit.
je me lève pour sortir de la chambre quand je me rends compte  que je suis en short et en tshirt blanc sans rien en dessous.
Je décide donc de prendre une veste, j'ouvre le placard et je cherche une de mes veste en fouillant, je tombe sur mon tel il y avait

30 appels manquées de Luis et Sonia

100 messages de Luis et Sonia

Mais aucun de ma sœur a croire que je compte pas pour elle, je repose le tel et me retourne et la je vois qu' il y a Gino derrière moi j'espére sincèrement qu'il n'a pas vue ce que j'étais en train de faire

Gino : tu fais quoi la ?

Moi : rien je cherche une veste je vais pas descendre comme sa

Gino : TU TE FOU DE MA GUEULE ??

Moi : non mais j'ai pas fait exprès et j'ai rien ça va calme toi

gino : ouais c'est sa dégage dépêche toi avant que je t'en mette une

moi : et ma veste ?

Il enlève la sienne et me la jette

Moi : merci

je l'ai mise et je suis descendue en vitesse, il y avait une fille assise avec mon petit dans ses bras et la ca m'a énervé.
je veux pas que mon bébé vive dans un monde comme sa où les putes la drogue et l'alcool sont les maîtres mots.
je lui ai pris Kenzo des bras et je suis montée dans la chambre. on s'est posé tous les 2 sur le lit. je m'amusais avec lui quand je sentis un regard derrière moi

Moi : tu sais que tu peux venir au lieu de nous regarder de loin

Gino : qu'est que tu dis ? Je regarde simplement la beauté de mon fils

Moi : j'ai jamais dis le contraire

il s'est mis a coté de nous et il jouait calmement avec son fils quand je le regarde je me demande comment j'ai fait pour pas m'en rendre compte toute suite tellement que la ressemblance est frappante

Moi : pourquoi tu t'es pas montré  avant ? il a 6 mois maintenant .

Gino : c'est comme ca ! Tu parles trop c'est chaud !

Moi : je t'ai rien dis, c'était pas un reproche

Gino : Je m'en fou ! Ferme ta gueule un peu

Moi : pff t'es un père en carton en faite

il prend le petit, le met dans son lit je savais que j'aurai du me taire mais non fallait que j'ouvre ma bouche ... il s'approche de moi, m'attrape le bras et me jète contre le mur, puis il se met devant moi et me relève

Gino : MOI JE SUI UN  PÈRE EN CARTON T'ES SUR ? TU SAIS RIEN T'AURAI MIEUX FAIT DE FERMEER TA GRANDE GUEULE TU VA REGRETTER CE QUE T'AS DIS

il a continué de me taper, il a enchainé les coups de poings et de pieds jusqu'au moment ou Kenzo s'est mis a pleurer, la il s'est arrêté d'un coup.

Gino : leve toi et va t'en occuper

j'essaye de me lever mais j'y arrive pas

moi : je peux pas j'ai trop mal

il dit rien

Gino : STELLAAAAAAAAAAAAAAA

Moi : si elle touche a mon fils je la tue même si faut que je me traîne par terre, aucune de tes putes l'approchera

a ce moment la, stella ouvre la porte

stella : quoi ?

Je le regarde mechament pour voir ce qui va dire

Gino : aide la a se lever et soigne la

il prend Kenzo et s'en va

stella : qu'est ce qui s'est passer ?

Moi : rien laisse tomber

elle m'emmene dans sa chambre, m'assoit sur son lit et me soigne

Stella : il t'a pas loupé t'as vraiment du lui dire quelque chose qui lui a pas plus

Moi : je lui est dit que c'est un père en carton parce qu'il s'est pas occupé de son fils pendant 6 mois

Stella : ah! Alors il te l'a pas dis ?

Moi : dire quoi ?

Stella : ...

La véritable histoire d'Inès & Gino ❤️Où les histoires vivent. Découvrez maintenant