Teacher: Bad Relation~L.T TERMINÉE

Chapitre 14

Je suis toujours la, en train d'embrasser Louis. Mais qu'est ce qu'on est en train de faire sérieusement ?

- Louis.. On ne peut pas faire ça, dis je entre deux gémissements.
- Laisse toi faire Jess, après on oublie tout.. Juste une fois.

Mes hormones me crient de monter a l'étage et de lui faire l'amour avec tout l'amour que je lui porte.
Mais ma raison me cri de tout stopper et de le faire sortir de chez moi le plus rapidement possible.

Que feriez vous, vous ?

Je passe mes mains dans ses cheveux en tirant un peu dessus le laissant gémir légèrement.
Je sens son membre durcir contre le bas de mon ventre.
Il m'attrape fermement et me dépose sur le canapé du salon.
Il retire son t-shirt et le jette dans la pièce, puis il retire le mien laissant apparaître mon soutiens gorge.
Je sens son regard sur moi puis ses lèvres mouillées viennent rencontrer mon ventre.
Il retire mon legging, et me voila en sous vêtement devant lui.

Je dois avouer qu'il est pas mal foutu.

- L..louis...
-on est dingue je te jure...

Je souris et le reembrasse.
Je lui retire son pantalon, et j'observe son boxer beaucoup trop serrer actuellement pour lui.

Il éteins la lumière en tendant le bras et retire la dernière pièce qu'il lui reste sur le corps et fais de même pour moi.

Nous voila nu,
Louis et moi.
Un professeur et son élève.

Je passe sur lui, et descend mes baiser jusqu'au bas de son ventre.
Je prend son sexe en bouche et commence à faire des vas et viens de plus en plus rapide.

- putain.. babe...

Je poursuis quelques minutes et me retire ensuite en remontant jusqu'à ses lèvres.
Il reprend le dessus et met un doigt en moi, puis deux.

Je m'accroche à ses cheveux et les tire doucement.

Il se retire.

- tu prends la pilule ?
- oui. Tu as exactement 10 minutes avant que Niall débarque chez moi.

Je souris sarcastiquement.
Il semble d'abord choqué puis il sourit en me lâchant un simple " ca devrait le faire ".

Il me pénètre doucement puis violemment laissant ressortir son côté sauvage.
Putain que c'est bon.

- plus viite...
- vos désires sont des ordres mademoiselle.

Je souris et il va de plus en plus vite.
Apres quelques minutes, il éjacule en donnant des derniers coups de bassin.

Il reste allongé sur moi, sans bouger pendant une trentaine de seconde et il se rhabille enfin.

- et maintenant ? Demandais je en me recouvrant avec le plaid.
- quoi maintenant ?

Une fois habillé, si s'assoit à côté de moi afin de remettre ses chaussures.

- et bien, on oublie tout ?
- c'est le mieux à faire...
- mais.. j'y arrive pas.

Une larme se crée au coin de mon œil et il l'essuie avec son pouce.

- écoute Jess, c'est indescriptible ce que je ressens pour toi. Je t'aime bien plus qu'une simple élève mais c'est bien trop risqué pour nous. On pourrait avoir de gros ennuies et de plus imagines la réaction de tes parents. Ils t'enverraient a l'autre bout du pays.. je... je veux simplement que tu prennes soin de toi d'accord ? Je te surveillerais toujours du coin de l'oeil.
J'ai des responsabilités à garder.. je.. je sais pas si c'est le bon moment pour te le dire mais.. je vais être papa.
- tu.. qu..quoi?
- je suis tellement désolé...

C'est comme si je me prenais une énorme claque dans la gueule.
J'attendais quoi moi aussi? Qu'il vienne vivre avec moi et qu'on vive dans un monde de bisounours?

- ...en tout cas, félicitation. Pends soin de lui même si je sais que tu le feras. Tu ferais mieux de partir maintenant.

Ne le voyant pas réagir je le fixe, toujours les larmes qui coulent sur mes joues.

- tout de suite.

Il se lève et pour plus de sécurité il sort par le jardin de derrière.

Donc je pense qu'en gros je me suis bien fait prendre pour une conne.
Le mec sait qu'il va devenir père et vient quand même chez moi pour au final coucher avec moi? Dites moi que je rêve.

Je me lève et remonte prendre une douche rapide et me met dans un pyjama. J'ai tellement envie de hurler toute la haine que j'ai accumulé ces deux dernières mois.
Je le hais mais en même temps je l'aime.
Je suis folle de lui, mais je suis résolu à l'oublier.

Ma vie est de la merde. Je ne peux pas aimer l'homme que j'idolâtre.

Peut être qu'un jour j'aurais ce que je veux.