CHAPITRE 16 : LA JALOUSIE EST AUSSI UNE DOULEUR PHYSIQUE

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Eh bien voilà que je me fais encore agresser. Jeu des devinettes, mais qui cela pourrait bien être ? Je me retourne pour voir Ino et Sakura, cette dernière en pleure. Bingo ! Tirage gagnant.


Ino : T'es contente ?! T'as vu ce que t'as fait ?!

Nao : Fais quoi, encore ?

Ino : La fille aux cheveux bleus ! Elle a encore fait du mal à Sakura !

Nao : Elle n'a que ce qu'elle mérite.

Ino : Là, elle a été trop loin ! Regarde l'état de ses cheveux !

Nao : Qu'elle aille se plaindre à ses parents. Ce sont eux qui l'ont ratée....


Attendez...En effet, en y regardant de plus près Sakura a .. un sérieux souci : ses cheveux sont coupés, et pas franchement à la Franck Provost.


Nao : C'est Emi qui ..

Ino : Elle suppose.

Nao : Eh ben qu'elle suppose sur une autre personne ! Qu'elle revienne quand elle aura des preuves !

Ino : Je te déteste ! T'es vraiment qu'une bonne à rien ! Une foutue conne ! Va au diable ! Je vais te massacrer !

Nao : Reviens quand tu seras capable de me parler sans claquer des genoux !


Et sur ce, je rejoins la salle d'étude. Non mais pourquoi je suis mêlée dans des affaires qui ne me regardent même pas en plus. Je balance mon sac sur une table et m'y installe.


... : La demoiselle elle va être gentille et va arrêté de faire du bruit.


Je lève mes yeux sur le pion... Cheveux bruns avec une mèche sur l'œil gauche, ghhh ghhh ghhh GROS CANON !


Nao : Scusez moi

... : Ku fu fu fu ...


Je tourne ma tête vers le coin de l'étude... Tayuya, je crois.. Elle lit un journal, avec marqué dessus Le journal de Miss K... Attend... En couverture, c'est pas Emi, Dei et moi ?!!


Tayuya : Il semblerait que la petite de Namikaze soit adepte des plans à trois.. du moins c'est ce que dit Miss K.

Nao : Hé !

Emi : Heiiiin ?!

Tayuya : "Se pourrait il que la fille de Minato Namikaze et la soeur de Konan aient succombé au charme de notre numéro 2 ? "

Emi : Non mais c'est quoi ces conneries ?!!

Tayuya : C'est ce qui est écrit. N'est ce pas, Utakata ?


Le pion, en fait, qui ne lève en rien son regard du livre.


Utakata : Je ne crois en rien à ce qui est écrit dans ce journal.

Tayuya : Les photos prouvent la vérité.

Utakata : Un mal entendu.

Nao : Exactement !

Emi : Passe moi ce putain de journal !

Maman, j'ai raté ma vie socialeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant