Harry
Cela fait depuis hier que je n'ai pas eu de nouvelle de Victoria, nous étions sensés nous voir aujourd'hui mais elle ne répond ni à mes textos ni à mes appels. Elle ne m'a même pas ouvert la porte quand j'ai sonné chez elle. Ce n'est pas que je m'inquiète mais.. je m'inquiète.
J'espère qu'elle n'est pas fâché contre moi à cause du fait qu'elle m'ait appelé son " petit ami " devant son père et que j'ai argumenté là dessus.
En tant que compagnon attentionné, je vais acheter des croissants au boulanger du coin et retourne chez moi pour chercher la clé que Victoria m'a passé. Je ferme chez moi et déverrouille sa porte d'entrée, tout est calme et les rideaux sont fermés. Je marche à pas de loup jusqu'à sa chambre.
Là, je suis soulagé en la voyant étalé sur son lit, toujours vêtu de sa robe d'hier, je présume, elle devait être habillée ainsi pour la soirée qu'elle a passé avec ses amis. Son maquillage à légèrement coulé et ses cheveux sont en batailles. Je souris en la voyant se tortiller en fronçant les sourcils.
Même ainsi, je la trouve magnifique.Je retrousse le nez en sentant une petite odeur d'alcool dans l'air, la soirée a du être bien arrosée pour qu'elle s'endorme encore habillé et qu'elle dorme encore à onze heures du matin, elle qui est généralement une lève tôt.
Je vais dans sa salle de bain pour lui prendre des médicaments que je pose sur sa commode accompagné d'un grand verre d'eau qu'elle prendra en se réveillant. Je dépose également le croissant et m'allonge dans son canapé, en l'attendant.
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Plus tard, j'entends une porte s'ouvrir suivi d'un grognement. Des pas lents parviennent à moi, je regarde ma chère et tendre Victoria arriver en sous vêtements devant moi. Elle se frotte les tempes, une grimace sur le visage. Elle a l'air de s'être douchée et brossée les cheveux. Plus aucunes traces de maquillage n'est visible sur son beau visage.
Elle avance lentement et se laisse tomber sur canapé, autrement dit sur moi. Heureusement qu'elle n'est pas lourde, vu comment elle est tombée.
Elle se frotte contre moi et souffle dans mon cou un air mentholé.
- Merci pour les médicaments et le croissant. dit-elle
Je lui caresse les cheveux et le dos en lui embrassant le front.
- C'est normal bébé. Ta soirée s'est bien passée?
Elle hoche la tête dans mon cou en grognant ce qui fait vibrer mon corps. Elle est sur moi, nos jambes sont entremêlées et elle continue de gigoter ou plutôt de se frotter contre moi. Comment dire que mon corps réagit très vite à ce contact si doux. Je sens mon membre durcir contre sa cuisse.
- Harry..
- Oui?
- Pas maintenant.. j'ai la gueule de bois..
- Mais c'est toi qui te frottes à moi ! C'est normal que je réagisse comme ça. je m'exclame
- Dans ce cas je me lève.
Elle commence à se lever mais je la rattrape et la colle contre moi.
- Non, non. Reste juste tranquille et ça passera.
Oh je me suis bien trompé. Plus le temps passe, moins elle se frotte à moi mais plus mon jogging devient étroit. Elle est toujours sur moi et sa culotte est au niveau de mon membre, sur mon jogging. J'ai eu la malheureuse idée de ne pas mettre de sous vêtements et le tissu du pantalon est très fin.
Après quelques minutes, Victoria recommence à se frotter contre moi.
Je coupe ma respiration et la tiens plus fermement mais elle ne s'arrête pas pour autant ; ses mouvements sont de plus en plus rapides et sa main vient vite rejoindre mon attribut masculin.Elle a la main sous ma ceinture de pantalon et elle m'empoigne vigoureusement. Je ne peux retenir mon gémissement quand elle commence des vas et viens. Je lui attrape le lobe d'oreille entre les dents et lui chuchote des mots d'amours.
Elle touche mon gland et c'est sous sa poigne que je me laisse aller en me déversant sur sa main.
Par chance je n'ai pas souillé mon bas.Victoria se lève pour se laver les mains et revient se lover dans mes bras.
- J'espère que tu te tiendras tranquille maintenant. dit-elle en caressant mon torse de ses doigts, sous mon tee-shirt.
- J'espère aussi bébé.
J'attends juste qu'elle n'ai plus la gueule de bois pour la baiser de ma bouche comme il se doit.