Indestructible love or not ? tome 2

Chapitre 28 :

Avant de lire ce chapitre, je voulais m'excuser de cette grande pause et de vous laisser sur votre fin avec mon histoire ! Je n vous ai pas oublié mais j'avoue que c'était un peu le rush pour écrire.
Bon comme on a encore tout le mois de Janvier pour le souhaiter: Bonne année !!!
Bien sur je vous souhaite tout le trin trin habituel mais en prime : je vous souhaite de la réussite si vous ecrivez sur Wattpad ;).
Je tenais également à vous remercier d'avoir la foi de lire ce chapitre apres tant de temps mais aussi car grâce à vous le premier tome est 951eme dans la catégorie fanfiction ! Alors merci pour cette petite victoire !!
En esperant que ce chapitre vous plaise et que votre année est bien commencée.
Bisous les loulous et bonne lecture !

Amélie♡

- NAAANNNN !!!! Criai je.

Il ria aux éclats.

- ARRÊTES !!!! JE T'EN SUPPPPLAARRRGHHHH !!! Dis je sous la torture.

- Ok ok c'est bon j'arrête ! Déclara-t-il.

Je réussis à me relever et à respirer normalement. Je me dressai devant lui.
Il me fit un petit sourire et un regard malicieux. Je compris alors qu'il se vengerait encore une fois.
Je courru alors vers la porte. Malheureusement, il m attrapa avant et fit jouer énergiquement ses doigts sur mes flancs. Je criai et riai alors aux éclats, appelant à la fois à l'aide et euphorie.
Soudain la porte souvrit pour laisser place à sa mère et son regard sévère.
Nous nous arrêtons par peur qu'elle ne nous disputes pour avoir fait trop de bruit.

Son visage se fendit par un sourire resplendissant. Elle nous fit part que le repas était prêt. Nous y allions gaiement toujours avec cette complicité naissante.
A ce moment la je savais que j'étais à ma place, en sécurité avec lui mais aussi dans cette famille.

Nous descendimes en nageant dans notre espièglerie quand je vis mes parents. Ceux qui avaient chassés ma soeur de chez nous, et indirectement moi aussi. Ils se tenaient droit, ne bougeant pas et me jugeant du regard.
Je tournai alors ma tête et ne vis plus ma nouvelle famille et mon âme soeur. J'étais seule face à ces monstres.
Quand je me retrouvais seule dans un cube noir et en manquant d'air. Je suffoquais puis fermais les yeux épuisée.

Je les rouvris et une lumière blanche m'agressa. Je ne voyais plus rien.
Je pouvais sentir où est ce que j'étais : sur une table en fer, très froide d'ailleurs.
Je me levais subitement et observais autour de moi. Une clinique vétérinaire. La clinique vétérinaire de cet espèce de véto.

Je voulus me lever mais mes jambes ne semblaient pas d'accord. Je posais mes mains sur cette table à temps avant la chute ! Ma tête tourna tandis que les événements me revinrent en tete : le supermarchés, la bagarre, Kate et Kira !
KIRA !
Fallait que j'aille voir si elle allait bien !
Mon coeur s'accélèra accompagné par l'angoisse et la peur.
Je pris de l'élan mais un voile flou s'ajouta devant mes yeux, ma tête tourna plus violemment tandis que mes jambes luttèrent et tremblèrent. L'air me manquait également, j'avais du mal à respirer.
J'avais un état fébrile, comme une grippe fois mille, enfin j'imagine.. Je découvre plutôt.

Soudain je sentis une présence. Cela m'inquiétai, je secouai alors la tête pour essayer de voir un visage précis plutôt qu'une silhouette vague.
La personne s'approcha. Je la connais.
La personne posa ses mains sur mes hanches et côtes puis me fit asseoir sur cette table toute fine. Retour à la case départ. Cependant je l'avais devant moi.
Je déduis suite à son odeur, ses émotions, sa respiration et la forme de ses mains, son identité. Je fermais les yeux, me calmais puis rouvrir les yeux.
Le flou commença doucement à partir.
Je mis ma main vers son épaule.
Puis je le vis.
Enfin.
En vrai et non plus en rêve.
Il me scruta tandis que je fis un sourire de soulagement. Il était enfin près de moi.
Je mis alors maladroitement ma main droite dans son dos. J'étais encore toute tremblante. Je le pressai contre moi.
Il serra également encore plus notre étreinte. J'inspirais à fond pour obtenir le plus possible son odeur.
Je savais ce qu'il venait de se passer. Et honnêtement j'avais eu peur.
J'ai faillit de plus jamais le revoir, reprendre ma vie normalement.
J'ai faillit mourrir tout simplement.