Poupée balafré.

Cinquième partie.

« A Harûn.

Aujourd'hui Harûn, tu n'es plus l'homme qui c'est occuper de moi, tu n'est plus celui qui est arriver à me réparer, car aujourd'hui tu ma souiller, et en moi tu as laisser, une partie de toi.

Ce soir,
Je ne mourrais pas seule. »

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* - « Te voir m'est devenu insupportable, j'en peux plus de ta sale gueule. »

• - « Pourquoi tu es née fille ? Maudis sois ta naissance ! »

Les mots plus fort que les coups, ils m'atteignent plus que d'habitude, et alors que moi je tente de cacher le secret qui est enfouie dans mon corps, eux commence à vider mes armoires.

* - « Seize ans, c'est l'âge que nous avions fixer, avant de te virer. Tu dégage maintenant. »

• - « Puisse dieu te laisser mourir dans la rue. »

A la porte, une nouvelle fois, mais cette fois si ils avait l'air plus que sérieux, moi? Avec lui? Toute seule dans la rue? Pauvre petite chose..

^ - « Irina ? Qu'est-ce que tu fou ici ? »

- « Ne m'approche pas, s'il te plaît. »

^ - « Irina.. écoute la dernière fois j'ai merder, je suis pas méchant.. »

- « Toi non, mais cette chose oui... »

^ - « Quel chose ? Je comprend pas. »

- « Ton bébé Harûn, le tiens.. »

Harûn,
Tu va être papa..